Serie A

Gonalons à Naples, ce serait fait !

À en croire la presse italienne, le transfert du milieu de terrain et capitaine lyonnais Maxime Gonalons vers Naples serait déjà bouclé. L’officialisation serait attendue sous peu, tandis que l’OL récolterait dans cette transaction une coquette somme d’argent…

Par Alexandre Pauwels
2 min.
Maxime Gonalons @Maxppp

Avec de belles liquidités débloquées et la vente d’Edinson Cavani, le Napoli a eu beaucoup d’argent à investir l’été dernier sur le mercato. Mieux, au terme de ce riche marché des transferts, qui aura vu débarquer dans la cité parthénopéenne des joueurs du calibre d’Higuain, Raul Albiol ou Callejon, il en restait même dans les poches des dirigeants napolitains, qui l’ont alors annoncé : de nouveaux investissements auraient lieu au mercato hivernal. Et aujourd’hui, alors que quelques carences sont identifiables au sein de l’effectif drivé par Rafa Benitez, les réajustements sont déjà envisagés. Voire même, réalisés.

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De fait, le Napoli aurait bouclé le dossier Maxime Gonalons. La Gazzetta dello Sport, qui relate l’évolution de l’affaire depuis déjà quelques semaines, a donc fait plus que citer une simple indemnité transfert dans son édition du jour. Selon le quotidien transalpin, Gonalons à Naples, « c’est fait », tout simplement. L’OL récolterait 12 M€ dans cette transaction, et le capitaine des Gones « pourrait être annoncé dans les prochaines heures et présent à Castelvolturno (centre d’entraînement du club, NDLR) en fin de semaine. »

La fin d’un sacré feuilleton, qui pour rappel, trouve ses sources l’été dernier. Ardemment désiré par Rafael Benitez et le président De Laurentiis, le milieu de 24 ans avait pourtant déclaré à plusieurs reprises qu’il ne quitterait pas son club en cours de saison, à l’instar de cette déclaration datant de novembre dernier : « C’est impossible que je parte cet hiver. Si je suis resté cet été, c’est pour faire la saison en entier. J’ai encore des choses à prouver et à apprendre. Ensuite, en juin, on verra. » Il semblerait que le joueur se soit fait une raison, et que son club n’ait pas pu faire une croix sur une offre aussi juteuse.

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