Samir Nasri à City, ça chauffe. Une information qui se confirme puisqu'Arsenal serait sur le point de finaliser l'arrivée du remplaçant du Français, Juan Manuel Mata.
Entre Samir Nasri et Arsenal l'histoire d'amour est sur le point de se terminer, reste maintenant à savoir quand. Mais une chose semble sûre : que ce soit cet été ou dans un an, si Nasri quitte Londres ce sera pour aller à Manchester City. C'est en tout cas ce qu'affirme RMC qui dévoile les raisons, essentiellement économiques, du choix de l'international français. À Arsenal, l'ancien Marseillais perçoit actuellement 2 M€ nets par an. City lui en offre beaucoup plus.
En effet, le milieu de terrain a repoussé l'offre de prolongation de son club (avec un salaire annuel de 4 M€ à la clé) car les Citizens lui auraient garanti des émoluments à hauteur de 6 M€/an, soit trois fois plus de ce qu'il perçoit à l'Emirates Stadium. S'il reste donc maintenant à voir si les Skyblues parviendront à convaincre Arsenal de lâcher sa vedette dans les jours à venir, cette information vient d'être appuyée par le journal espagnol Marca.
Sur sa une, le quotidien ibérique titre en effet « Mata à deux doigts de signer à Arsenal ». Déjà annoncé dans le viseur des vice-champions d'Europe 2006, le champion du monde 2010 comblerait à merveille un éventuel départ de Nasri puisqu'il occupe également le flanc gauche de l'attaque. Estimé à 20 M€, le prix de départ du milieu offensif de Valence pourrait même être ramené à 15 M€ selon une clause présente dans le contrat du joueur.
Une aubaine pour Arsenal, même si la formation ché peut toujours le retenir. Mais pour cela, elle devra lui accorder une revalorisation salariale pouvant aller jusqu'à 750 000€ de plus par an pour atteindre ainsi un salaire supérieur à 2 M€. Si tout semble donc parti pour s'emboîter parfaitement, le joueur a tout de même tenu à calmer le jeu. « Je suis content d’être à Valence, mais on ne sait pas ce qui peut se passer dans le futur. Je n’ai jamais dit que je voulais partir. Si des offres arrivent avant le 31 août, le premier qui le saura sera le club. Je n’ai jamais dit que j’étais mal ici. »
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