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L’équipe type de la troisième journée de Ligue des Champions

La troisième journée de phase de poules de Ligue des Champions vient de s’achever. Après un lot habituel de buts et de rebondissements, l’heure est venue de tirer un bilan. Voici le onze type concocté par la rédaction.

Par Sébastien DENIS
4 min.

Cette nouvelle journée de la phase de poules de la Ligue des Champions a délivré son lot de surprises mais également de confirmation. La rédaction FM vous propose ainsi un tour d’horizon des joueurs qui sont sortis du lot cette semaine et vous propose sa traditionnelle équipe type de la semaine avec une formation équilibrée en 4-2-2-2. Un onze qui fait la part belle à la solidité affichée par le PSG mais également aux hommes forts de la semaine tels Neymar, Daniele De Rossi ou encore Ivan Rakitic.

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  • Kevin Trapp (PSG) : si le PSG a fait venir Kevin Trapp pour devenir le titulaire au poste, c’était pour sa faculté à se montrer décisif dans les grands rendez-vous. Le portier allemand a répondu présent face au Real Madrid et a rendu une copie parfaite. Décisif face à Jesé, il a détourné proprement deux têtes de Cristiano Ronaldo et n’a jamais paru en difficulté dans le domaine aérien. Solide.

  • Serge Aurier (PSG) : sur France Bleu, il disait ne pas avoir peur de CR7. Sur le terrain, Serge Aurier a de nouveau fait parler sa puissance et sa générosité. Il a bien contenu Cristiano Ronaldo et a, comme à son habitude, multiplié les appels sans grande réussite malheureusement pour le PSG.

  • Laurent Koscielny (Arsenal) : on lui promettait une soirée compliquée face au redoutable Robert Lewandowski. Mais Laurent Koscielny n’a pas démérité et a sorti le bleu de chauffe face au serial buteur polonais. À son crédit, deux retours énormes sur l’attaquant du Bayern, inoffensif face à Petr Cech.

  • Thiago Silva (PSG) : mis à l’écart par Dunga en équipe du Brésil, Thiago Silva reste le pilier de la défense du PSG. Face au Real Madrid, O Monstro n’a pas failli devant CR7. Avec sept relances propres et cinq interceptions, il a effectué un match plein et solide.

  • Marcelo (Real Madrid) : le virevoltant latéral gauche du Real Madrid a mis le feu sur son côté gauche provoquant plusieurs situations chaudes sur le but de Trapp. Mais comme souvent avec le Brésilien, il a fait preuve de quelques errances défensives qui l’ont forcé à se calmer, notamment après l’entrée de Lucas.

  • Daniele De Rossi (AS Roma) : quelques jours seulement après sa 500e sous le maillot de la Roma, Daniel De Rossi a régalé les supporters de la Louve face au Bayer Leverkusen en claquant un doublé remarqué. Tout d’abord bien placé dans la surface, l’emblématique milieu de la Roma a également scoré de la tête.

  • Ivan Rakitic (FC Barcelone) : absent-surprise du onze de départ de Luis Enrique, Rakitic a profité de la blessure de Sergi Roberto pour réaliser l’une de ses performances les plus abouties avec le club catalan. En effet, son association avec Neymar a fait des étincelles et le milieu croate a marqué un superbe doublé qui a permis au club catalan de l’emporter face au Bate Borisov.

  • Miralem Pjanic (AS Roma) : sur courant alternatif ces derniers mois, l’ancien Lyonnais a été l’un des hommes clés de Rudi Garcia en Allemagne face au Bayer Leverkusen. En plus d’un superbe coup franc, le Bosnien n’a rien lâché et a apporté toute sa technique à l’attaque romaine.

  • Kevin De Bruyne (Manchester City) : arraché à Wolfsbourg l’été dernier contre 76,4 M€, le feu follet belge s’est rapidement adapté à son nouvel environnement. Déjà précieux en Premier League, De Bruyne s’est montré décisif avec City en Ligue des Champions puisque c’est lui qui a offert la victoire aux Citizens durant les derniers instants de la rencontre face à Séville.

  • Neymar (FC Barcelone) : en l’absence de Lionel Messi, Neymar a pris en main le jeu du Barça. Face au Bate Borisov, il a été omniprésent. S’il a failli dans le dernier geste, il a distillé deux passes décisives pour Ivan Rakitic. Un Neymar taille patron.

  • Javier Hernandez (Bayer Leverkusen) : à Leverkusen, Chicharito a prouvé qu’il pouvait être plus qu’un supersub. En Ligue des Champions face à la Roma, il a de nouveau démontré qu’il faisait partie des meilleurs buteurs de la scène européenne. S’il n’a pas failli sur penalty pour ouvrir le score, il a doublé la mise en deux temps. Avec plus de réussite, il aurait même pu s’offrir un triplé voire même un quadruplé. De bon augure pour la suite de la saison du Bayer.

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