OL : le cas Rayan Cherki divise le vestiaire

Par Maxime Barbaud
2 min.
Rayan Cherki, contre Le Havre @Maxppp

Malgré la venue de Fabio Grosso, le vestiaire de l’OL ne va pas bien. Le cas Rayan Cherki est notamment au cœur de nouvelles tensions.

La venue de Fabio Grosso n’a pas fait de miracle. Du moins pas encore. Pour son premier match sur le banc rhodanien, l’entraîneur italien a connu une défaite logique à Brest. Battus 1-0 sur un but en fin de match, les Gones n’ont jamais fait le poids en Bretagne. La composition du nouveau coach avec Caqueret, Alvero et Tolisso au milieu, et Nuamah, Lacazette et Moreira devant n’a pas du tout fonctionné. Principale victime de ce système, vous l’aurez deviné : Rayan Cherki.

La suite après cette publicité

Titulaire avec Laurent Blanc, le milieu offensif va devoir se battre pour trouver sa place dans un 4-3-3 qui n’est pas vraiment fait pour ses qualités. Le numéro 10 serait bien plus à l’aise d’un 4-2-3-1 mais son début de saison ne répond pas vraiment aux attentes placées en lui (toujours aucun but, ni passe décisive en 6 rencontres de Ligue 1). C’est aussi sa prise de risque qui n’est pas récompensée. Toujours est-il que son cas divise à l’OL, alors qu’il a un temps été annoncé sur le départ pour le PSG notamment.

À lire JT Foot Mercato : la polémique Mbappé continue de faire parler

Cherki de moins en moins apprécié au sein du groupe

La tension est déjà palpable au sein du vestiaire lyonnais, notamment autour de quelques cas comme Corentin Tolisso et même Alexandre Lacazette, qui commence à se lasser de cette situation sportive compliquée depuis son retour dans son club formateur. Résultat, c’est Cherki qui prend de plus en plus de place dans l’effectif. Du haut de ses 108 matchs professionnels, il commence à devenir un cadre là où les autres ne souhaitent plus prendre la place.

La suite après cette publicité

Sauf que son caractère, en plus de ses performances, ne plaît pas à tout le monde, comme le signale RMC. Les relations avec certains coéquipiers sont compliquées. Ils n’apprécient pas son côté chambreur à l’entraînement, d’autant qu’il ne fait pas toujours les efforts défensifs. L’atmosphère est mauvaise et comme les cadres sont aux abonnés absents, les nouvelles recrues ne se sentent pas forcément bien accueillies. Fabio Grosso a du pain sur la planche pour tout remettre en ordre de marche.

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité