Insolites : les perles de la semaine

Alors qu'une nouvelle semaine de football touche à son terme, l'heure est à votre dose hebdomadaire d'insolites. Au sommaire, un Chiriches au lever de coude facile, un Januzaj en mode radin et des Nantais piégés sur les réseaux sociaux.

Par La Rédaction FM
2 min.
Nantes Vlad Iulian Chiricheș @Maxppp

Ivre, Vlad Chiriches mange la neige

Pris la main dans le sac. Ou plutôt la tête dans la neige. Vlad Chiriches, défenseur de Tottenham, a été filmé passablement ivre dans les rues de Bucarest. Au point de ne plus pouvoir marcher et de s'écrouler en pleine rue, accompagnant dans sa chute la jeune femme tenant de lui porter secours. Pas très classe. Deux jours plus tard, Tottenham en prenait cinq face à Manchester City avec un Chiriches titulaire en défense centrale. Ah, la gueule de bois...

Adnan Januzaj, séducteur low cost

Jeune prodige de Manchester United, Adnan Januzaj découvre les joies de la célébrité, mais pas que... Son premier rendez-vous avec une certaine Melissa McKenzie, étudiante, a fait les gros titres de la presse people. La cause ? La star a décidé d'emmener sa belle chez Nando's, un fast food bon marché. Montant de l'addition : 22€. Un honneur pour l'enseigne, qui a offert un bon d'achat de 50£ au joueur pour le deuxième rendez-vous. Mais pas sûr que la demoiselle soit très emballée : «Je n'ai jamais connu quelqu'un d'aussi radin,» a-t-elle lâché au Sun. Un poil intéressée, Melissa ?

Les Canaris, victimes de Twitter

En 2014, les réseaux sociaux sont incontournables pour tout joueur 2.0 qui se respecte. Mais Twitter et Facebook sont aussi les terrains de jeu préférés des usurpateurs d'identité. Et les Nantais en ont fait l'amère expérience, à commencer par Michel Der Zakarian. 20minutes rapporte que l'entraîneur des Canaris s'est rendu compte qu'un imposteur se faisait passer pour lui sur Facebook, et en profitait pour extorquer de l'argent ! «Un pote s'est abonné à ce faux-compte. Il a voulu discuter avec le fameux Michel Der Zakarian. Et là surprise, l'imposteur lui a demandé de l'argent avec en échange la possibilité de faire un stage à la Jonelière ! C'était 800 €...» Même mode opératoire, autre motivation : un faux Fabrice Pancrate profitait de la célébrité de sa victime pour «inviter des filles à des soirées dans des bars.»

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