Ligue 1 : votre équipe type de la 31ème journée de L1
Une nouvelle fois, Foot Mercato vous a donné la parole et vous a proposé de dresser la meilleure équipe type de la 31ème journée de L1. Vous avez été très nombreux à participer, voici les résultats.
Les équipes types proposées sur la toile et dans les médias sont nombreuses. Mais à Foot Mercato, nous avons décidé de vous laisser la parole pour recueillir votre avis d’expert. Après avoir recueilli vos votes, voici votre équipe type :
Alexis Thébaux : le dernier rempart caennais a une nouvelle fois sorti une prestation de grande classe pour mettre en échec les attaquants girondins. Si ses exploits n’avaient pas permis à Caen de l’emporter jusqu’ici (les Caennais restaient sur une série de six matches sans victoire), ses arrêts ont cette fois été déterminants et permis aux siens d’empocher les trois points pour s’extraire de la zone rouge.
Réveillère : si la défense lyonnaise a beaucoup souffert cette saison, notamment en raison des absences à répétition de ses titulaires habituels, le latéral droit de 32 ans ne déçoit presque jamais. Et cette fois encore, il a été à la hauteur malgré les atermoiements de ses coéquipiers en défense et a su tenir son couloir avec sérieux.
Civelli : considéré comme le meilleur joueur de tête de la Ligue 1, il n’a pas fait mentir ses admirateurs en inscrivant le second but qui a scellé la victoire de son équipe face à Lorient. Taulier de la défense, travailleur infatigable, coriace dans les duels, il a une nouvelle fois guidé les siens vers la victoire.
N’Koulou : Marseille n’a pas sombré à Paris, loin de là, et aurait même mérité d’en ramener un petit point. Seule certitude ? L’OM ne peut rien sur les deux réalisations parisiennes et surtout pas Nicolas N’Koulou qui continue d’éclabousser la Ligue 1 de toute sa classe. Hier, malgré les éclairs de Ménez, il s’est encore une fois montré à la hauteur.
Omar Daf : de son propre aveu, Omar Daf ne marque jamais. Face au LOSC samedi, il a fait mentir les statistiques en catapultant dès la 5e minute une frappe monumentale des 35 mètres sous la barre de Mickaël Landreau, légèrement avancé comme souvent. Pour le reste, le latéral gauche brestois a été au diapason de son équipe qui a corrigé sans ménagement des Lillois intermittents.
Bakaye Traoré : samedi face à Dijon, c’est lui qui s’est occupé de tout et a permis à son équipe d’enchaîner un sixième match sans défaite (dont cinq victoires !). En signant un doublé de deux frappes lointaines exceptionnelles, l’international malien a mis les siens sur la voie du succès et même s’il est probable qu’il quitte Nancy en fin de saison, au moins l’aura-t-il laissé en Ligue 1.
Mounier : il a signé hier le 8e but de sa saison et continue de porter son équipe à bout de bras. A la réception d’une passe en profondeur de Coulibaly, il file seul au but et trompe Audard d’un plat du pied gauche plein de sang-froid. Si Nice arrache son maintien, ce sera en grande partie grâce à lui.
Belhanda : depuis son retour de blessure, l’international marocain peinait à se montrer aussi décisif qu’en début de saison. Samedi face à Sochaux, il a retrouvé de sa superbe et donné le tournis aux défenseurs doubistes. Auteur de l’ouverture du score et à l’origine du second but, il signe son retour au premier plan de la plus belle ds manières et au meilleur moment pour Montpellier.
Payet : est-il enfin de retour à son meilleur niveau ? Un transfert difficile à digérer, un genou qui le handicape et voilà le Payet stéphanois aux abonnés absents dans les rangs lillois. Mais depuis quelques semaines, le Réunionnais semble avoir enfin retrouvé toutes ses sensations et même s’il n’a pas permis aux siens de l’emporter, il a tout de même inscrit son troisième but en autant de matches.
Lisandro : le match de l’OL n’a certes pas été un modèle de maîtrise mais les Lyonnais l’ont emporté face à Auxerre grâce à deux pénaltys obtenus et transformés par Lisandro. L’Argentin inscrit là ses onzième et douzième buts de la saison et permet aux siens de revenir à trois points de Lille et du podium.
Ménez : si on devait ne retenir qu’un joueur sur les 22 acteurs du Clasico d’hier, ce serait lui. Auteur de l’ouverture du score au bout de seulement six minutes, il s’est ensuite battu comme un diable sur tous les ballons, revenant sans cesse soulager sa défense mais avec toujours l’énergie nécessaire pour contre-attaquer. Surement l’un de ses tous meilleurs matches en termes d’investissement.
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