Pour sa première interview média en tant que joueur de l'OM, Abou Diaby a véritablement expliqué son choix de carrière. Un choix motivé... par l'assistance médicale présentée par les Marseillais.
C'est officiel depuis maintenant quelques heures, Abou Diaby est un joueur de l'Olympique de Marseille. Le milieu de terrain, 29 ans, a fait le choix de regagner la France après 10 saisons tronquées par les blessures à Arsenal. Ce choix de se reconstruire dans l'Hexagone et plus précisément sur la Canebière, Diaby s'en est expliqué ce soir auprès de RMC. Et sa justification tient uniquement... des garanties d'assistances médicales présentées par le club phocéen.
« Tout ce qui motivait mon choix, c’était de savoir quel club allait le mieux m’assister médicalement. C’était vraiment ma priorité. J’avais effectivement d’autres propositions. J’ai eu des contacts très très poussés avec West Bromwich. Les autres clubs avec qui j’ai également discuté me mettaient aussi dans de bonnes conditions, mais je trouvais que Marseille était mieux. Ça reste un grand club français. Je me suis dit ‘’pourquoi pas rentrer en France’’ », a-t-il expliqué. Pour Diaby, qui n'a pas joué depuis deux ans, l'assurance d'une préparation adaptée était donc la priorité absolue.
«C’est plus important pour moi de savoir comment je vais être préparé et comment mon corps va répondre. Ça engendre forcément de l’appréhension. J’ai toujours énormément travaillé, en faisant beaucoup d’effort. Mais je récoltais peu. Encore une fois, j’ai la chance d’être dans un grand club, mais aussi avec un staff médical très performant. (...) Je n’ai pas joué depuis deux ans. J’ai besoin de me reconstruire, de me remettre dans de bonnes dispositions pour rejouer au football. Ce n’était pas un choix facile. Mais j’ai fait mon choix, je me sens apaisé et je vais me mettre à travailler.» Diaby a choisi l'OM pour se relancer au plus haut niveau, à lui de retrouver une bonne condition physique pour pouvoir intégrer l'effectif de Bielsa... et enfin fouler les pelouses régulièrement.
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