Ligue 1

PSG : les sifflets du Parc des Princes mettent le feu en interne !

L'accueil du Parc des Princes dimanche après-midi n'a, logiquement, pas vraiment été apprécié par les joueurs et les dirigeants.

Par Max Franco Sanchez
2 min.
Messi et Neymar lors du match Real Madrid-PSG @Maxppp

Le match a sûrement été très long pour bien des joueurs hier après-midi du côté du Parc des Princes. Il faut dire que les supporters parisiens n'ont pas épargné leurs hommes, à quelques rares exceptions comme Kylian Mbappé, avec des sifflets et des chants insultants. S'il y en a un qui était particulièrement visé, c'était bien Neymar. Le Brésilien, véritable star du projet QSI avant la prise de pouvoir de Mbappé, a encore déçu face au Real Madrid.

La suite après cette publicité

Et comme l'indique le quotidien l'Equipe, l'accueil réservé par les supporters a fait mal en interne. Neymar par exemple n'a pas vraiment apprécié ces sifflets, ce qui semble plutôt logique. Mais surtout, il aurait confié à ses proches regretter une forme d'ingratitude venant des fans parisiens. S'il a expliqué comprendre la colère et la déception des supporters après l'élimination, il les trouve donc ingrats.

Les dirigeants l'ont mauvaise

Quoi qu'il en soit, on peut imaginer que tout ceci pèsera en vue d'une éventuelle décision pour son avenir, lui qui a déjà voulu quitter Paris pour revenir à Barcelone à plusieurs reprises. Dans les tribunes, les différents chants et sifflets ont aussi fait mal. Nasser Al-Khelaïfi, lui aussi pointé du doigt et cité comme parmi les principaux responsables de la débâcle, est visiblement assez insensible aux critiques et aux chants du Parc. Pas de quoi l'atteindre. En revanche, la direction parisienne n'a pas du tout apprécié les chants et les sifflets contre Lionel Messi.

La suite après cette publicité

L'état-major du club estime que beaucoup de supporters ne sont pas conscients de la chance qu'ils ont d'avoir La Pulga à Paris. Le journal explique aussi que la fracture entre le clan des francophones et ses proches et le clan hispanophone est plus visible que jamais dans le vestiaire. Les prochains jours s'annoncent donc tout aussi gris...

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité
Copié dans le presse-papier