PSG : Luis Enrique démonte les critiques liées au niveau de son équipe

Par Samuel Zemour
2 min.

Avant d’aller à Nice, Luis Enrique est revenu longuement sur la défaite parisienne à Arsenal, en Ligue des Champions, et ne veut pas s’alarmer pour la suite de la saison.

Quatre jours après une défaite qui a beaucoup fait parler contre Arsenal, à l’Emirates Stadium, où les Parisiens sont passés à côté de leur match (0-2), Luis Enrique était présent devant la presse avant d’aborder le déplacement contre l’OGC Nice, dimanche (20h45). Et le manager parisien est longuement revenu sur la défaite subie à Londres, en évoquant les raisons de cette défaite et l’état actuel de son équipe. Pour commencer, Luis Enrique a volé au secours de Gianluigi Donnarumma, décrié pour ses fautes de main sur les deux buts d’Arsenal.

La suite après cette publicité

«Le seul responsable, c’est l’entraîneur. Quand il y a une défaite, c’est très triste de taper sur un joueur. On s’acharne souvent sur lui, s’il vous plaît, laissez-le tranquille et acharnez-vous sur moi. Nous travaillons toutes les phases de jeu importantes. Cela ne veut pas dire que des situations comme celles-ci ne vont plus se produire. Mais cette situation est due au début de l’action, c’est tout un collectif qui est concerné, pas que le gardien. Il ne faut pas regarder que le dessert, mais voir toutes les étapes», a d’abord assuré Luis Enrique.

À lire PSG : Luis Enrique s’en fiche des critiques de la presse

Luis Enrique veut jouer le titre en C1

Avant de revenir sur les détails de cette défaite, en phase de championnat de Ligue des Champions : «Je crois que l’adversaire a été meilleur sur des points ponctuels du match. On va encore avoir des situations de ce type. Je ne suis pas convaincu que ça tournera toujours en notre faveur. Cela ne dépend pas que de nous, mais aussi de l’adversité. On est imparfaits, on va s’améliorer, mais je suis certain que cette équipe va lutter dans toutes les compétitions. Si on rejoue ce match contre Arsenal, chez nous au Parc, peut-être que le résultat n’est pas le même».

La suite après cette publicité

Mais le manager parisien veut aller de l’avant et assure que le PSG peut regarder droit dans les yeux les grandes équipes européennes, qui prétendent au sacre en C1 : «Je pense qu’on n’est pas loin du niveau des grandes équipes. Arteta et Guardiola sont là depuis des années, nous, cela fait un an et trois mois. On doit gagner toutes les compétitions, c’est mon objectif, on va le faire, c’est ma mentalité. Mais la différence avec un coach, une direction sportive qui travaillent ensemble depuis cinq ans existe. On est dans une phase qui n’est que le début de notre processus». Il faudra rassurer à Nice, ce dimanche, avant la trêve internationale.

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité