La comparaison lunaire de l’entraîneur de Gijon entre les buts et les femmes en boîte de nuit
Voilà un bad buzz qu’il aurait sûrement préféré éviter. Alors que le président de la Fédération espagnole, Luis Rubiales, a provoqué un tollé hier en volant un bisou, considéré par beaucoup comme une agression sexuelle, à Jenni Hermoso, Miguel Angel Ramirez, entraîneur du Sporting Gijon, s’est également fendu d’un commentaire déplacé dimanche.
En effet, à l’issue de la rencontre de deuxième division entre son équipe et Mirandes (3-0), le technicien espagnol a dressé une comparaison pour le moins maladroite entre les problèmes de finition de son buteur Uros Djurdjevic, buteur hier, et les…femmes en boîte de nuit : «en fin de compte, le but, c’est comme les filles en discothèque… Plus on se rapproche, plus elles s’éloignent. Et puis, quand tu ne leur donnes pas leur chance, que tu les ignores, elles reviennent à la charge et te disent 'hey, quoi de neuf’. C’est la même chose avec le but. Quand tu en fais une obsession… il s’éloigne. Quand tu te concentres sur autre chose, il réapparaît. Et il est apparu.» On vous laisse en juger par vous-mêmes.
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