Liga

Mercato : le FC Barcelone rame complètement

Le FC Barcelone n’a pas réussi à attirer Lionel Messi et n’avance toujours pas pour ses autres pistes. Au contraire…

Par Max Franco Sanchez
2 min.
Joan Laporta lors d'une conférence de presse avec le FC Barcelone @Maxppp

L’été devait être chaud du côté de Barcelone. Mais pour l’instant, force est de constater que ça n’avance pas vraiment. Il y a eu ce dossier Messi, qui s’est, une fois encore, conclu sur un échec, puisque l’Argentin a décidé d’emmener ses talents à Miami. Derrière, on a parlé d’autres joueurs qui devaient rapidement signer, mais pour l’instant, force est de constater que rien n’est fait.

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Il y avait notamment le dossier İlkay Gündoğan, que beaucoup d’insiders barcelonais annonçaient déjà au FC Barcelone. Entre temps, l’Allemand a remporté la Ligue des Champions, mais s’est surtout éloigné de Barcelone. Comme l’expliquait Sport ce week-end, le Barça n’a pas les fonds nécessaires et tout indique que son avenir se jouera soit à Manchester City, où il a une offre de prolongation, soit en Arabie saoudite.

Deux objectifs prioritaires s’envolent

Le pays arabe qui risque aussi de gâcher les plans du Barça avec un autre joueur : Ruben Neves. Comme l’explique Relevo, Al Hilal va recruter l’international portugais, qui faisait aussi partie des joueurs tout en haut de la shopping-list du Barça. Quant aux pistes comme Joshua Kimmich ou Bernardo Silva, elles ne sont actuellement pas réalistes.

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Vitor Roque - en plus d’Íñigo Martínez qui aurait déjà signé son contrat avec le champion d’Espagne - est actuellement la seule opération bien avancée par la direction catalane. Les Barcelonais auraient bien avancé pour l’attaquant de l’Athletico Paranaense, pour qui ils devraient débourser 40 millions d’euros. Mais Xavi a fait savoir qu’il a besoin de bien plus de renforts… Quant aux départs, là aussi, statu quo. Ansu Fati ou Raphinha, qui font partie des quelques joueurs bankables de l’effectif, n’ont aucune intention de partir, comme l’a confié l’Espagnol hier soir. Dans ce contexte, impossible de libérer de la masse salariale et donc de pouvoir recruter. Le serpent qui se mord la queue…

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