Guardiola dévoile les plans du Barça pour le mercato et adoube Cesc et Cuenca

Interrogé en conférence de presse il y a quelques minutes, l'entraîneur du FC Barcelone Pep Guardiola a fait part de ses intentions sur le mercato avant de réaffirmer sa confiance à Cesc Fabregas et Isaac Cuenca.

Par Alexis Pereira
1 min.
Josep Guardiola i Sala @Maxppp

Si le FC Barcelone collectionne les titres cette saison encore (Supercoupe d'Espagne, Supercoupe d'Europe et Mondial des Clubs), tout n'est pas simple. Pep Guardiola doit par exemple composer avec la longue absence pour blessure de David Villa et le départ du Malien Seydou Keita pour la CAN. Pour autant, le technicien catalan n'entend pas bouleverser son effectif en janvier. «Nous n'aurons pas recours au mercato, nous sommes ce que nous sommes», a-t-il lancé en conférence de presse il y a quelques instants.

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Et s'il ne sait pas s'il piochera encore dans l'équipe réserve pour pallier ces absences, le coach blaugrana sait déjà sur quels joueurs il va s'appuyer pour continuer à gagner, encore et toujours. Cesc Fabregas (24 ans) est l'un d'eux. «Tito (son adjoint), qui l'a entraîné, me disait que Cesc était un joueur très ambitieux avec une grande vision du jeu. Mais quand tu recrutes un joueur, tu ne sais jamais s'il entrera dans notre système», a-t-il expliqué, agréablement surpris par la rapidité d'adaptation de son milieu de terrain (8 réalisations en 12 apparitions en Liga), quel que soit le système.

Mais l'ancien Gunner n'est pas le seul à surprendre agréablement celui qui a été élu meilleur technicien de l'année 2011 par l'IFFHS. Isaac Cuenca a également eu droit à son soutien et ses compliments. «Cuenca peut de nouveau être titulaire dans beaucoup de matches à venir. C'est un gamin résistant qui récupère bien des efforts», a-t-il lâché. En lui promettant du temps de jeu, il a sans doute rassuré l'espoir espagnol. De quoi l'inciter à prolonger son contrat (qui expire en juin) alors que Manchester United l'observe avec insistance ? Après tout, l'emporter dans des situations compliquées, Pep Guardiola y est habitué depuis trois saisons. Pourquoi s'arrêter là...

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