Toujours en quête de renforts, l’Olympique de Marseille souhaite étoffer son secteur défensif et plus particulièrement le poste de latéral gauche. Le nom du Suisse Ricardo Rodriguez est aujourd’hui évoqué.
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Avec l’arrivée de Morgan Sanson, l’Olympique de Marseille version McCourt a enfin lancé son mercato. Et en attendant de voir si le club phocéen réussira ou non à arracher Dimitri Payet à West Ham, il s’active toujours pour dénicher un renfort défensif. Récemment, Rudi Garcia a d’ailleurs clairement identifié le profil dont il avait besoin dans ce secteur de jeu : un latéral gauche. Avec un Bedimo en reprise, un Hubocan blessé et une paire Rekik-Doria peu à l’aise pour dépanner à ce poste, l’entraîneur olympien veut absolument étoffer le flanc gauche de son arrière-garde.
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Et selon L’Equipe du jour l’OM aurait ciblé un nom de choix : Ricardo Rodriguez. Âgé de 24 ans, l’international suisse (45 sélections, 1 but) de Wolfsbourg fait partie des Loups les plus courtisés de ce mercato avec Julian Draxler qui a depuis rejoint les rangs du Paris Saint-Germain. Le club de la capitale avait d’ailleurs coché lui aussi le nom de l’Helvète, mais rien à signaler depuis. Marseille se montrera-t-il plus offensif ? Pour le moment, aucune offre concrète n’aurait été formulée, mais le montant de la clause libératoire (22 M€) ne serait pas un frein pour les Phocéens.
L’Inter met le paquet pour Rodriguez
Coté sur le marché, Rodriguez a l’avantage, outre ses qualités de défenseur, d’être également une redoutable arme offensive de par ses aptitudes sur coup franc et son sens du but (15 réalisations inscrites en Bundesliga depuis 2013). Sur le papier, cette piste est donc plus que séduisante et confirmerait les grandes ambitions de l’équipe McCourt. Cependant, la tâche s’annonce compliquée. En effet, l’Inter Milan est aussi sur le coup et serait prête à mettre le paquet pour assurer le coup.
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En clair, les Nerazzurri seraient disposés à payer 5 M€ de plus que le montant de la clause libératoire. Suffisant pour dissuader l’OM de céder à la surenchère ? Pour rappel, le président Eyraud avait indiqué : «Nous ne sommes pas un gros carnet de chèques monté sur crampons. Nous sommes des entrepreneurs. La discipline en matière financière est fondamentale pour nous. Cela restera comme une règle de conduite sur ce mercato et bien au-delà.» Reste à savoir si Ricardo Rodriguez vaut la peine d’enfreindre cette ligne de conduite.
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