Pour son mercato hivernal, le club nordiste semble clairement viser le marché brésilien pour trouver de jeunes talents.
Officiellement intronisé à la tête du LOSC, l’homme d’affaires luxembourgeois Gérard Lopez ne perd pas de temps. Conscient des besoins de l’équipe nordiste sur le marché des transferts, le successeur de Michel Seydoux n’a pas tardé à mettre la machine en branle pour dénicher les renforts idoines. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le nouvel homme fort des Dogues peut compter sur son directeur sportif et bras droit Luis Campos pour lui dresser une liste de cibles bien identifiées.
D’Anwar El-Ghazi (21 ans) au défenseur paraguayen Junior Alonso (23 ans), en passant par Bingourou Kamara (20 ans), Lille multiplie les pistes défensives, mais surtout offensives. Et dernièrement, il semblerait que les Dogues aient l’envie de dénicher leur talent du côté du Brésil. Récemment, Globo annonçait que le milieu offensif de Santos Vitor Bueno (22 ans) avait fait l’objet d’une première approche lilloise à hauteur de 8-10 M€. Auteur de 10 buts en 33 matches de championnat en 2016, Bueno coûtera cependant bien plus cher, Santos ayant repoussé l’offre nordiste. Cependant, le joueur du Peixe n’est pas le seul pensionnaire de la Série A brésilienne à avoir reçu une offre du LOSC.
Une deuxième cible brésilienne pour le LOSC
Lance ! nous apprend en effet que l’attaquant de São Paulo Luiz de Araujo a lui aussi les faveurs des champions de France 2011. Agé de 20 ans, le natif de Santa Clara do Sul peut évoluer aussi bien dans l’axe que sur les côtés. Son bilan comptable en 2016 avec la formation pauliste est de 2 buts en 22 apparitions en championnat (dont 7 fois en tant que titulaire). Lié au club brésilien jusqu’en 2019, Luiz de Araujo sera également difficile à déloger.
Car si le LOSC a fait une offre (dont le montant n’a pas été précisé), São Paulo ne détient que 70% des droits économiques du joueur. En clair, si le Tricolor n’est pas fermé à un départ cet hiver, ce qui lui permettrait d’engranger des liquidités, le fait de ne pas posséder l’intégralité des droits de l’attaquant l’oblige à réclamer une part plus grosse. La balle est donc dans le camp nordiste.
En savoir plus sur