Jérôme Rothen fait son mea-culpa sur Antoine Griezmann

Par Noah Thouery
2 min.
Jérôme Rothen commente l'actualité football chaque soir sur RMC @Maxppp

Difficile de faire mieux qu’Antoine Griezmann en Espagne, voire en Europe, en 2023. L’international français (124 capes, 44 buts) rayonne avec l’Atlético de Madrid et continue de porter son équipe à bout de bras. En 12 matchs cette saison, le meneur de jeu compte déjà 8 réalisations et des performances XXL en championnat. De bonne augure pour l’équipe de France qui espère pouvoir compter, comme en 2016, sur un grand Griezmann à l’Euro. Souvent critique vis-à-vis du natif de Mâcon, Jérôme Rothen a fait son mea-culpa dans sa propre émission Rothen s’enflamme, même s’il ne regrette pas tous ses propos non-plus.

La suite après cette publicité

«Sachez que je ne reviens pas sur ce que j’ai dit y a 2 ans, 3 ans, 4 ans, il était en dessous de ce niveau là. Déjà par rapport au choix de club parce qu’à Barcelone, ça se passait pas bien, et ça se traduit par des stats qui ne sont pas bonnes par rapport à ce qu’Antoine Griezmann était habitué à faire à l’Atlético de Madrid. Après, il est revenu (…) et ça a été compliqué la première année», débute-t-il. «Depuis cette Coupe du Monde (…), je retrouve un Antoine Grizemann plus haut sur le terrain, décisif, il marque des buts, mais là qu’est-ce que tu veux que je dise. Je dis juste bravo, de s’être remis en question après des années compliquées, aujourd’hui, il est redevenu un joueur parmi les 10 meilleurs au monde. Et est-ce que c’est grave de dire ça aujourd’hui par rapport à avant où je disais le contraire ? Mais non, c’est juste le reconnaître.» Jérôme Rothen en a également profité pour tacler Didier Deschamps à propos du capitanat en Bleu : «le brassard qu’il a donné à Kylian Mbappé, c’est un brassard politique, et ça me dérange un peu».

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité