Ligue 1

OM : Adrien Rabiot juge son retour en Ligue 1

Titularisé pour la troisième fois consécutive face à Nantes (2-1), l’ancien milieu de la Juventus s’est exprimé sur son retour en France. Extraits.

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Adrien Rabiot avec l'OM @Maxppp

Revenu en Ligue 1 cinq ans après son départ du PSG pour la Juventus, Adrien Rabiot (29 ans) a fait un come-back plus que remarqué. Il faut dire qu’en rejoignant l’OM, l’ex-Titi n’a pas choisi l’option la plus simple. Mais qu’importe. Rabiot assume ses choix et hier soir, il a disputé son cinquième match sous le maillot phocéen. Sa troisième titularisation consécutive n’entrera pas dans les annales (il a été crédité d’un 3,5/10 par notre rédaction), mais le milieu de 29 ans ne s’en fait pas puisqu’il est encore en phase de rodage.

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«Ça va, je retrouve mes jambes petit à petit. Je suis content d’enchaîner 90 minutes ce soir (hier, ndlr). On parle beaucoup avec le coach sur le positionnement dans le milieu avec Pierre (Hojbjerg) et le troisième milieu, on essaye de s’adapter. Le coach essaye de trouver le meilleur poste de chacun. Dans ce poste de relayeur, je me sens mieux», a-t-il confié en zone mixte, à l’issue de la rencontre, avant d’évoquer un peu plus en profondeur son repositionnement comme relayeur droit, lui le gaucher.

Rabiot se réadapte

«C’est une volonté du coach. Il s’adapte aussi à ce qu’on ressent. De par le fait d’être gaucher, j’ai eu plus l’opportunité d’évoluer comme relayeur gauche. Mais dans le jeu qu’il veut mettre en place, il préfère avoir un droitier à gauche et un gaucher à droite. C’est quelque chose qu’on peut adapter, il est à l’écoute de ce qu’on lui dit. C’est une position qui me va aussi. Il ne nous met pas à un poste où on doit rester figé, on a beaucoup de libertés». Positif, l’ancien Parisien est comme son entraîneur, il demande encore un peu de patience. Car Rabiot et l’OM tâtonnent.

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«Il y a de la réadaptation. Au niveau collectif, il y a pas mal de joueurs qui viennent de l’étranger donc il faut qu’ils s’adaptent. Moi aussi, je reviens de l’étranger. Le coach aussi vient d’un autre championnat. Il a connu autre chose. Je sais qu’il ne s’attendait pas forcément à ça en Ligue 1. Tout ça fait qu’on a pas mal de choses à travailler. Mais quand on met tout ça bout à bout, on voit qu’on est quand même deuxième. Avec tout ce qu’il reste à améliorer, c’est une très bonne chose». Sur le plan comptable, difficile de dire le contraire…

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