Barré à Lyon, Clément Grenier attend que des portes s'ouvrent pour changer d'air mais est pénalisé par son temps de jeu très faible. Un intérêt espagnol peut lui donner des motifs d'espoir.
« On a beaucoup de monde au milieu, je ne peux pas satisfaire tout le monde. Si on peut trouver une solution qui convienne à tout le monde, tant mieux ». Au début du mois de janvier, Bruno Genesio ne cachait pas la réalité en conférence de presse, alors que des rumeurs laissaient transparaître un certain malaise du côté de Jordan Ferri et Sergi Darder. Mais c'est surtout du côté de Clément Grenier que la déclaration a dû avoir de la résonance.
Le milieu de terrain de 26 ans, longtemps blessé, n'est apparu qu'à 4 reprises en Ligue cette saison (plus une apparition en Ligue des Champions et une en Coupe de la Ligue). La porte pour un départ est clairement ouverte du côté de la direction lyonnaise, qui ne serait pas contre l'économie du salaire de Grenier, très conséquent (plus de 300 000 euros mensuels). Malheureusement, si le milieu a souvent déclenché des intérêts de la part de clubs européens, le concret n'a pas suivi.
Toutefois, une nouvelle piste s'ouvre aujourd'hui, comme l'explique le journal Superdeporte. En effet, Clément Grenier serait sur les tablettes de Valence. Le directeur sportif du club ché José Ramon Alexanko s'est renseigné sur le Lyonnais, sous contrat jusqu'en 2018, dans l'optique d'un futur départ de Parejo. Un temps suivi par l'OM ou encore l'AS Roma, Grenier attend des propositions concrètes de la part de clubs intéressants, mais est pénalisé par son temps de jeu très faible cette saison. Trouvera-t-il son bonheur en janvier ou devra-t-il attendre le mercato estival ? Il a encore une grosse dizaine de jours pour trouver preneur.
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