Le richissime président de Man City sur le point de s’offrir un nouveau club !

En 2008, le cheikh Mansour bin Zayed Al-Nahyan s’offrait Manchester City pour 280 M€. 5 ans plus tard et après avoir déboursé plus de 800 M€ de sa poche, ce membre de la famille royale d'Abou Dhabi est parvenu à faire de son club l’un des meilleurs de Premier League. Insatiable, le cheick Mansour n’entend pas s’arrêter là et rêve de s’offrir un nouveau jouet. Ces derniers mois, des rumeurs annonçant un possible rachat du Real Madrid pour 1 milliard d’euros avaient été fortement relayées par les médias européens. Une possibilité qui semblait vouée à l’échec du fait du règlement de l’UEFA qui interdit à une société ou à un homme d’affaires de posséder deux clubs évoluant dans la même compétition européenne.

Qu’à cela ne tienne, le richissime propriétaire des Citizens a plus d’un tour dans son sac et serait sur le point de s’offrir un nouveau club… qui n’existe pas encore. En effet, selon le Daily Mail, le cheikh Mansour devrait racheter pour une centaine de millions de dollars (environ 75 M€) une franchise de MLS afin de fonder un nouveau club basé à New-York. Selon la publication anglaise, l’accord serait proche d’être finalisé et l’annonce pourrait intervenir dans les prochaines semaines. Basée dans le Queens, à proximité du siège de l'équipe de baseball des Mets de New York et de Flushing Meadows, où se déroule le traditionnel tournoi du grand chelem de tennis, cette équipe pourrait être lancée en 2016 sous le nom provisoire de New-York City FC. Une nouvelle équipe qui pourrait offrir un derby de New-York inédit avec les New-York Red Bulls de Thierry Henry.

L’arrivée d’un homme d’affaires du calibre du cheikh Mansour apporterait un plus au championnat de Soccer américain, et augmenterait quasi immédiatement sa crédibilité et sa valeur commerciale sur le plan international. Pour le membre de la famille royale d’Abou Dhabi, l’enjeu est également important puisqu’il permettrait à Manchester City de développer de nombreuses connexions avec les États-Unis, aussi bien au niveau commercial, qu’au niveau du merchandising, de la formation et la détection des grands talents. Mais ce n’est pas la première fois qu’un tel projet voit le jour aux États-Unis et pour l’instant, il n’y a guère eu de succès majeurs. Au Cheikh Mansour de conjurer le sort et de transformer l’essai.