Atlético de Madrid : Antoine Griezmann annonce la couleur pour son avenir
Après la trahison, la réconciliation. Antoine Griezmann a su faire oublier son incartade de deux ans au FC Barcelone et est redevenu le patron de l’Atlético de Madrid. Consacré joueur le plus décisif de Liga en 2023 par AS, il a dit son bonheur retrouvé, et clairement exprimé son souhait pour l’avenir.
Il est le meilleur buteur (21) et passeur (16) de la Liga sur l’année 2023. Antoine Griezmann a donc été consacré par le quotidien espagnol AS comme le footballeur le plus décisif, et a récupéré un trophée individuel, tout sourire. L’occasion de délivrer aussi quelques mots, avec une franchise désarmante. L’international français (127 sélections, 44 buts), âgé de 32 ans, est heureux, et veut le faire savoir.
« J’étais heureux lors de mon premier passage ici à l’Atléti. Je pense que je suis heureux maintenant, mais en plus de ça, je réalise vraiment que je suis heureux. Vous profitez davantage et vous vous amusez davantage, car lors de mon premier passage, je n’avais pas réalisé à quel point j’étais heureux », a-t-il confié à As. Son incartade, raté, de deux ans au FC Barcelone est désormais un lointain souvenir, et Griezmann a su se faire pardonner par les supporters de l’Atlético de Madrid.
Griezmann veut finir à l’Atlético… avant la MLS
Il aura fallu un an pour y parvenir, mais revoilà le Français acclamé par le public du Metropolitano, conquis par sa combativité et son influence sur le terrain. Et cette fois-ci, pas de risque de voir Griezmann tout laisser tomber. Son avenir, il l’expose clairement, il souhaite rester avec les Colchoneros, avec qui il est pour l’instant lié jusqu’en 2026.
« Oui, c’est ce que j’ai dit. Je sais que le club est favorable à pouvoir faire un effort et on en parlera. Au-delà de l’Europe, ce que j’aimerais plus tard, c’est la MLS (ligue américaine), je l’ai toujours reconnu. Mais l’Atlético sera presque à cent pour cent mon dernier club en Europe. C’est là que je veux être, là où je me vois le plus heureux et où je me sens comme chez moi », a-t-il assuré. Faut-il avoir peur du « presque » ou s’agit-il d’une simple précaution d’usage ? L’avenir le dira.
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