Le Real Madrid a trouvé la cible parfaite pour pallier tous ses blessés
Confronté à une cascade de blessés, le Real Madrid doit recruter cet hiver un profil bien particulier.
Si sur le terrain tout va bien, le Real Madrid occupant d’ailleurs le fauteuil de leader en Liga, du côté des blessés, c’est une hécatombe. L’infirmerie est pleine à craquer et cela ne cesse de déborder. Thibaut Courtois, Eder Militao, Eduardo Camavinga, Dani Carvajal et Vinicius Jr ont été rejoints la semaine passée par David Alaba, victime, comme les deux premiers cités, d’une rupture des ligaments croisés du genou. Sa saison est d’ores et déjà terminée.
On devrait aussi avoir des nouvelles pour Rodrygo, sorti dans les arrêts de jeu contre Alavés (1-0). Carlo Ancelotti se voulait plutôt rassurant quant à son état de santé mais il s’agit tout de même d’un problème musculaire sur lequel il faut rester vigilant. Vous l’aurez compris, les besoins de la Casa Blanca sont avant tout défensifs. Tous ces blessés obligent Ancelotti à faire évoluer Aurélien Tchouaméni en défense centrale, un poste que le Français n’aime pas.
Robert Renan coche toutes les cases
Il s’agit d’une solution d’urgence, en attendant de recruter. Des noms ont déjà été cités comme le joueur de l’Eintracht Francfort, William Pacho (22 ans), ou encore Antonio Silva (20 ans) de Benfica. Ces deux éléments s’avèrent être très onéreux mais à la vue de ces deux pistes, il s’agit de viser jeune. Un troisième nom a fait son apparition ces dernières heures et il a l’avantage de cocher toutes les cases. D’après AS, le Real vise Robert Renan, international U20 brésilien.
Gaucher, jeune (20 ans) et pas si cher que cela (environ 20 M€), le défenseur central évolue au Zenith Saint-Petersbourg où il a débarqué l’hiver dernier et avec qui il est sous contrat jusqu’en juin 2028. Il n’est que remplaçant en Russie mais dispose d’une sacrée marge de progression. Seul obstacle, les sanctions de l’Union Européenne rendent difficiles les affaires avec des entreprises russes depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine. C’est ainsi qu’un prêt, éventuellement avec une option d’achat, est à l’étude.
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