Équipe de France : le patron de la FFF a plusieurs noms en tête pour l’après-Deschamps
Énormément sollicité par les médias depuis l’annonce du départ de Didier Deschamps en 2026, le président de la FFF a réaffirmé qu’il ne comptait pas trouver le futur sélectionneur des Bleus dans l’immédiat. Mais il a confié avoir déjà des noms en tête
Qui succèdera à Didier Deschamps en 2026 ? Depuis hier soir et l’annonce du prochain départ de l’emblématique sélectionneur des Bleus, le nom de Zinedine Zidane se détache très nettement. Plus tôt dans la journée, le nom de Thierry Henry, ancien coach des Espoirs, a également été cité, mais ZZ est l’homme que tous les observateurs aimeraient voir à la tête de l’équipe de France.
Pour tenter d’en savoir plus, les médias se sont logiquement tournés vers le président de la FFF, Philippe Diallo. Mais ce dernier a été très clair d’entrée de jeu. Pas question de se pencher tout de suite sur l’identité du futur patron des Bleus. «Je verrai. Je veux que Didier travaille dans la sérénité. Nous avons des échéances importantes.», Mais ce soir, Diallo a toutefois confirmé que Zidane n’était pas l’unique option possible.
Henry pas hors-jeu
«Non, j’ai quelques noms en tête, mais je n’ai pris aucun contact», a-t-il confié dans les colonnes de L’Équipe. Le boss de la FFF n’en dira pas plus sur l’identité des noms auxquels il pense, mais il a indirectement assuré que Thierry Henry était loin d’être hors course malgré le choix du champion du monde 98 de quitter son poste chez les Espoirs à l’issue des Jeux Olympiques.
« J’ai parfaitement respecté sa décision. On s’en est expliqué tous les deux. Il n’y a aucune ambiguïté. (…) J’ai de très bons rapports avec Thierry Henry. Je ne lui tiens pas du tout rigueur d’avoir arrêté à l’issue des Jeux. Au contraire, je le remercie d’avoir mené nos troupes dans cette compétition. » Diallo entretient donc le suspens et confirme que la FFF restera fidèle à sa tradition concernant le futur sélectionneur. «Ce sera un Français. Depuis Stefan Kovacs, la tradition est bien établie que ce soit un Français qui dirige l’équipe de France.» Patience.
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