Ligue 1

OL : quand Aulas tente de sauver les meubles...

A l'aube d'une semaine décisive pour l'Olympique Lyonnais, le président Jean-Michel Aulas est de nouveau intervenu au sein du vestiaire pour remobiliser ses troupes.

Par Matthieu Margueritte
1 min.
Saint-Étienne Stéphane Ruffier @Maxppp

Semaine capitale pour l'Olympique Lyonnais. Demain soir, les Gones iront défier le Tottenham d'Hugo Lloris à White Hart Lane. Une rencontre importante pour l'avenir européen d'un club qui a brillé lors de la phase de poules, mais qui précèdera un autre match à enjeu. Relégués à six points du PSG après deux défaites consécutives face à Ajaccio et Lille, les septuples champions de France auront également une obligation de résultat à Bordeaux.

La suite après cette publicité

La question est maintenant de savoir si la troupe de Rémi Garde peut enchaîner ces deux rencontres avec succès. Entre des résultats sportifs médiocres et des joueurs perturbés par le mercato, le coach lyonnais a du pain sur la planche. Et ça, le président Aulas l'a bien senti. Selon L'Équipe, le patron des Gones s'est invité hier dans le vestiaire des joueurs.

Le but ? Remobiliser tout ce petit monde, l'OL étant bien ancré sur le podium, et surtout remettre certaines choses au point concernant le dernier mercato. Auteur de multiples déclarations évoquant sa volonté de vendre certains cadres, JMA a voulu rattraper le coup en annonçant aux joueurs concernés qu'il n'avait aucunement l'intention de les blesser. Cela aura-t-il un effet pour autant ? Les prochains matches nous le diront.

La suite après cette publicité

Quelques doutes sur les effets souhaités subsistent néanmoins. Outre les cas Lisandro Lopez et Yoann Gourcuff, qui ne sera pas de la partie à Londres pour cause de nouvelle blessure, le dossier Jimmy Briand laisse également perplexe. Non convoqué depuis le début de l'année 2013, l'ancien Rennais s'estime prêt à rejouer après un ennui aux ischio-jambiers. Seul souci, son club ne semble pas encore avoir digéré son vrai faux départ à Monaco. Déçu, Briand paierait-il les conséquences de son prêt avorté ? Ce n'est pas impossible.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité
Copié dans le presse-papier