Au terme d'un match plutôt moyen, l'Italie rafle la mise face à la Belgique (2-1) grâce à des réalisations signées Barella et Berardi. Le vainqueur du dernier championnat d'Europe des Nations achève cette Ligue des Nations à la troisième place.
Match de prestige entre les deux demi-finalistes malheureux de la Ligue des Nations 2020-2021 ce dimanche avec l'affrontement entre l'Italie et la Belgique. Dominée par l'Espagne (2-1), la Squadra Azzurra voulait se reprendre sur ses terres et apportait quelques changements dans son 4-3-3. Expulsé contre la Roja, Leonardo Bonucci cédait sa place à Francesco Acerbi en défense. Manuel Locatelli et Lorenzo Pellegrini prenaient la place de Jorginho et Marco Verratti dans l'entre-jeu. Enfin, Federico Chiesa était accompagné en attaque par Domenico Berardi et Giacomo Raspadori qui remplaçaient Federico Bernardeschi et Lorenzo Insigne. Du côté de la Belgique, le 3-4-3 était maintenu avec quelques modifications. Avec l'absence d'Eden Hazard, Yannick Carrasco montait d'un cran et laissait Alexis Saelemaekers en tant que piston. Devant, Michy Batshuayi et Hans Vanaken prenaient la place de Romelu Lukaku et Kevin De Bruyne.
Et le match débutait fort. Si Federico Chiesa se procurait rapidement deux frappes (2e et 3e), la première grosse frappe était belge avec Michy Batshuayi à la baguette. Le joueur de Besiktas frappait cependant bien trop haut (7e). L'Italie mettait ensuite davantage d'ingrédients dans cette rencontre. Domenico Berardi poussait Thibaut Courtois à la parade (18e) tandis que le jeune buteur de Sassuolo, Giacomo Raspadori, qui avait été bien lancé par Federico Chiesa voyait son tir être contré dans la surface par Jan Vertonghen (20e). Alors qu'on sentait l'Italie prendre le dessus, la Belgique rappelait qu'elle était encore présente dans le match. Trouvé au point de penalty par Michy Batshuayi, Alexis Saelemaekers frappait très fort sur la barre transversale (25e). À la limite, Jan Vertonghen passait proche du carton rouge (33e) et la Belgique grinçait encore des dents sur une frappe de Federico Chiesa repoussée par Thibaut Courtois du bout du pied (45e).
L'Italie a trouvé la faille
Dominant le premier acte, l'Italie revenait de la meilleure manière des vestiaires. Suite à un corner raté côté droit, Youri Tielemans manquait son dégagement. Plein axe à l'entrée de la surface, Nicolò Barella tentait sa chance et délivrait la bande de Roberto Mancini (1-0, 46e). Enfin en tête au tableau d'affichage, l'Italie continuait de déployer un jeu attrayant, mais la Belgique ne s'avouait pas vaincue. Sur la droite de la surface, Michy Batshuayi frappait de nouveau sur la barre transversale et restait malchanceux (60e). La suite se compliquait encore plus pour les Diables Rouges avec un penalty concédé (63e). L'ailier de Sassuolo Domenico Berardi prenait ses responsabilités et parvenait à tromper de justesse Thibaut Courtois (2-0, 65e). Bien plus tranquille désormais, l'Italie reculait un peu plus et tentait de conserver son avantage. Porté vers l'avant, Toby Alderweireld frappait fort et testait Gianluigi Donnarumma (69e).
L'ancien de Tottenham insistait de nouveau quelques minutes plus tard sur un centre de Charles De Ketelaere. Sa volée était repoussée par Gianluigi Donnarumma (77e). On sentait un petit espoir revivre côté belge et Yannick Carrasco frappait fort sur le poteau droit des Transalpins (81e). Moïse Kean s'infiltrait sur la gauche de la surface afin de mettre un troisième but mais il était contré (86e). En contre, la Belgique réduisait le score avec Charles De Ketelaere bien lancé par Kevin De Bruyne sur la droite de la surface. Le joueur du Club Bruges plaçait le ballon entre les jambes de Gianluigi Donnarumma (2-1, 86e). L'espoir revenait mais l'Italie gérait bien les dernières minutes et ne concédait pas de grosse occasion. Finalement avec cette victoire 2-1, l'Italie termine troisième de cette Ligue des Nations et domine la Belgique sur le même score qu'en quart de finale de l'Euro 2020. Le podium sera complété par l'Espagne et la France et les deux équipes se défieront ce soir à 20h45 afin de définir le vainqueur de la compétition.
Revivez le film de la rencontre sur notre live commenté
Le classement des buteurs de la Nations League
Le classement des passeurs de la Nations League
L'homme du match : Chiesa (7) : très dangereux dès les premières minutes, l'attaquant de la Juve s'est procuré les premières occasions du match (2e, 3e). Très mobile, l'intéressé a causé nombreuses difficultés à la défense belge par ses appels. Elément offensif le plus dangereux de son équipe en première mi-temps, le numéro 14 n'a pas été récompensé de ses nombreuses initiatives. Bien servi par Berardi dans la profondeur, l'attaquant perd son duel face à Courtois (45e). Le principal protagoniste obtient un penalty suite à une faute dans la surface de Castagne (63e). Dans tous les bons coups de son équipe, sa générosité dans l'effort aurait mérité au moins un but. Remplacé à la 90e par Bernadeschi
Italie
Donnarumma (5) : le portier italien encore titulaire, est sauvé par sa transversale sur une frappe de Saelemaeker (25e). Le gardien du PSG particulièrement chanceux cet après-midi est sauvé une nouvelle fois par sa transversale sur une lourde frappe de Batshuayi (60e). Le capitaine transalpin sauve les siens sur une tentative d'Alderweireld (69e). Auteur d'une très belle parade sur une volée d'Alderweireld (77e). Sauvé par son montant sur une frappe de Carrasco (81e). Pas exempt de tout reproche sur le but belge marqué par De Ketelaere (2-1, 87e).
Di Lorenzo (4) : le latéral droit de l'Inter s'est distingué par sa belle activité sur le plan offensif. Mais son début de match fut poussif sur le plan défensif avec quelques approximations sur le plan technique notamment. Averti à la 29e pour une vilaine faute de Carrasco. L'intéressé a souffert face à Carrasco dans son couloir. Dans le second acte, il a beaucoup participé aux phases offensives de son équipe sans pour autant se montrer dangereux par des débordements ou centres.
Acerbi (5,5) : titularisé cet après-midi en charnière centrale avec Bastoni, le défenseur de la Lazio a essayé d'apporter de la sérénité à sa défense par ses interventions. Il s'est évertué à relancer proprement. Très à l'aise dans les duels, sa lecture du jeu et son positionnement sont précieux pour sa défense. Il a également réussi à masquer les difficultés rencontrées par Bastoni. Manque de vigilance sur l'occasion de Carrasco (81e).
Bastoni (4) : le défenseur central de l'Inter Milan a éprouvé des difficultés à entrer dans son match. Le numéro 23 laisse tout loisir à Batshuayi d'alerter Saelemaekers qui voit sa frappe heurter la transversale (25e). En retard sur le centre de Batshuayi qui provoque la frappe d'Alderweireld (69e). Il mort à l'hameçon sur la feinte de Batshuayi ce qui permet à Carrasco de s'offrir une belle opportunité (81e).
Emerson (3,5) : le latéral gauche de l'Olympique Lyonnais n'a pas été trop mis à contribution sur son côté gauche. Il s'est évertué à bien défendre et n'a pas pris d'initiatives sur le plan offensif en première mi-temps. Le numéro treize transalpin est trop laxiste sur le centre de Batshuayi qui amène la frappe d'Alderweireld (69e). Trop souvent laxiste dans son couloir, les offensives belges se sont déroulées régulièrement sur son côté. A l'instar du centre de De Bruyne pour Carrasco dont la frappe heurte le poteau (81e), puis sur la réduction du score belge de De Ketelaere où il déserte complètement son couloir sur la passe de De Bruyne (2-1, 86e).
Pellegrini (5) : le milieu de l'AS Roma a essayé de réguler le jeu de son équipe avec plus ou moins de réussite. Souvent obligé d'effectuer le travail défensif, il n'a pas franchement rayonné par ses initiatives offensives en première mi-temps. Au retour des vestiaires, le scénario du match lui a permis de prendre plus le lead du jeu et il a démontré une belle aisance dans le jeu long notamment. Le numéro sept a pu plus se projeter vers l'avant et combiner avec ses partenaires. Remplacé à la 70e par Jorginho qui n'a pas influé sur les événements.
Locatelli (5) : le joueur de la Juventus n'a pas rayonné dans l'entrejeu italien en première mi-temps. Privé de ballons face à l'aisance technique belge, le numéro cinq transalpin n'a pas apporté grand chose dans le jeu. Le scénario favorable du match lui a permis de passer un second acte plus tranquille notamment dans la récupération du ballon.
Barella (5) : plutôt discret, le joueur de l'Inter Milan a été obligé d'évoluer relativement bas à cause du jeu de possession pratiqué par les Belges. Au retour des vestiaires, l'intéressé décante la situation pour la Squadra Azzurra grâce à une superbe volée (1-0, 47e). Cependant, ce n'est pas forcément le meilleur match du numéro 18 sous la tunique italienne. Remplacé à la 70e par Cristante
Chiesa (7) : voir ci dessus.
Raspadori (4) : installé dans l'axe de l'attaque italienne, l'attaquant de Sassuolo a guetté la moindre opportunité pouvant lui permettre de marquer. Bien servi par Chiesa, sa frappe est déviée en corner par Vertonghen (20e). Par la suite, il a un peu disparu de la circulation. Remplacé à la 65e par Kean qui n'a jamais effectué les bons choix.
Berardi (5,5) : très actif sur son côté droit, l'ailier de Sassuolo n'a pas toujours effectué les bons choix. Sa lourde frappe est bien repoussée par Courtois (18e). Beaucoup plus inspiré au fil du match, son activité et sa faculté à percuter ont gêné la défense belge. Sa superbe ouverture pour Chiesa aurait pu être décisive (45e). Le numéro onze italien ne tremble pas au moment de transformer le penalty du break pour les siens (2-0, 65e). Un but avant de disparaître des radars et baisser le pied physiquement. Remplacé à la 90e par Insigne
Belgique
- Courtois (4,5) : le portier des Diables Rouges a vécu une entame de match très tranquille avant de repousser, d'une manière peu académique, la frappe de Berardi légèrement déviée par le dos de Denayer (18e). Vigilant dans son placement pour couper les prises de profondeurs des attaquants italiens (22e) et propre dans la relance, il n'a pas eu à forcer son talent dans un premier acte très équilibré où les défenses ont souvent pris le meilleur sur les attaques adverses. Juste avant la pause, le Madrilène s'illustre malgré tout d'une énorme parade en repoussant du pied gauche la frappe enroulée de Chiesa (45e). Au retour des vestiaires, le dernier rempart du Real ne peut absolument rien faire face à la reprise limpide de Barella permettant à la Nazionale d'ouvrir le score (46e). Face à la pression de plus en plus forte des Italiens, il est malgré tout rassurant pour repousser un centre chaud qui aurait pu occasionner un second but (53e). Sur le penalty transformé par Berardi, il part du bon côté mais coupable d'une main pas assez ferme, il doit s'incliner (65e). Frustrant.
- Alderweireld (6,5) : positionné à droite de la charnière centrale belge, l'ancien défenseur des Spurs s'est montré très rassurant en première période. Face à la vivacité de Berardi ou Chiesa, l'actuel joueur d'Al Duhail n'a pas tremblé. Auteur d'un superbe tacle glissé pour contrer la frappe de Chiesa (2e), il s'illustre dès l'entame de la rencontre. Vigilant défensivement, il s'est souvent trouvé bien placé pour couper les transmissions italiennes (35e). Concentré, il se distingue également d'une tête croisée sur corner qui aurait pu inquiéter le portier de la Nazionale (24e). Très inspiré dans ses interventions (49e), il ne peut que constater les dégâts sur l'ouverture du score de Barella (46e). Collectivement dépassé, il aurait pu permettre aux Belges de se relancer dans la rencontre mais ses frappes en première intention ont parfaitement été détournées par Donnarumma (69e, 77e). Prestation très convaincante.
- Denayer (6) : au cours du premier acte, le défenseur de l'Olympique Lyonnais a été le véritable patron de cette défense à trois proposée par la Belgique. Toujours bien positionné pour éloigner le danger (11e), il se met en évidence après une très grosse intervention pour couper la progression de Di Lorenzo (18e). Très solide dans le duel (26e) et vigilant face à la percussion de Chiesa, il n'a pas hésité à sortir haut pour couper les angles de frappe ou repousser le danger (28e, 35e). Dans la partie adverse, il s'est même offert quelques fantaisies pour apporter le danger sur le but de Donnarumma (44e). Face à la domination italienne bien plus présente en seconde période, le Belge n'a pas commis d'erreurs particulières, si ce n'est peut être un manque d'agressivité sur le corner amenant le but de Barella, trop seul pour ajuster Courtois. Un match sérieux malgré la défaite.
- Vertonghen (3,5) : capitaine à l'Allianz Stadium, le défenseur de Benfica positionné à gauche de la défense centrale a souvent souffert face au feu follet Berardi, très actif durant la première période. Averti d'un carton jaune après une intervention trop rugueuse et à retardement sur Berardi (14e), il a souvent compensé son retard par un excès d'engagement, à l'image de ce vilain geste dans un duel aérien avec Di Lorenzo (32e). Propre dans sa relance, il a par ailleurs trop subi face à la vitesse et la roublardise de Chiesa (20e), le plus en vue côté italien. Dès la reprise de la seconde période, il enlève de la tête une situation chaude pour les Italiens (46e) mais s'est montré, globalement, plus fragile que ses compères de défense. Un ton en dessous.
- Saelemaekers (3,5) : dans ce match pour la troisième place de la Ligue des Nations, le joueur de l'AC Milan a beaucoup dézoné au cours du premier acte. Après avoir débuté à droite, il s'est souvent retrouvé libre dans le cœur du jeu en cherchant notamment à se positionner entre les lignes italiennes. Au fil des minutes, il s'est positionné sur le côté gauche pour venir soutenir Vanaken et Carrasco. Souvent pris par l'intensité physique présente dans l'entrejeu, le Diable Rouge a été relativement discret en première période. Idéalement servi par Batshuayi, il est malgré tout l'auteur de la plus grosse occasion du premier acte. Isolé en plein cœur de la surface, il voit sa frappe en première intention terminer sur la barre transversale de Donnarumma (25e). Plus en difficulté sur le plan défensif et bien trop caché pour peser dans ce match. Remplacé par De Ketelaere (60e) qui n'est pas parvenu à imposer toutes ses qualités aperçues face au PSG en Ligue des Champions mais qui reste malgré tout l'auteur du seul but belge dans cette rencontre, non sans un brin de réussite (86e).
- Tielemans (6) : le milieu de terrain de Leicester a fait parler toute sa maîtrise technique pour résister et exister dans un match très équilibré où l'intensité dans l'entrejeu s'est avéré très forte. Toujours aussi présent dans le duel (7 duels remportés sur 10 au cours de la première mi-temps), il s'est également montré précis dans la transmission pour lancer les offensives belges. Face à la solidité défensive italienne, il n'a par ailleurs très peu trouvé des passes tranchantes pour déstabiliser le bloc de Roberto Mancini et s'est globalement montré discret sur le plan offensif. Remplacé par De Bruyne (59e), passeur décisif sur la réduction du score de De Ketelaere (86e);
- Witsel (5,5) : fort d'une intelligence de placement (53e) et d'une présence physique au dessus de la moyenne, le milieu du Borussia Dortmund avait du répondant à l'Allianz Stadium face au trident italien du milieu de terrain. Positionné en tant que sentinelle, il a cherché à donner le tempo des siens avec cette même capacité à bien orienter le jeu. Présent dans le duel (43e, 72e), il a fait parler toute son expérience pour endosser le rôle de baromètre du jeu belge, en l'absence de De Bruyne. Cependant, à l'instar de ses coéquipiers, il a également souffert face à la grinta des attaquants italiens, se retrouvant parfois un peu seul face aux vagues de la Squadra Azzurra. Averti d'un carton jaune pour une intervention à retardement sur Pellegrini (56e), il a vécu une seconde partie de match beaucoup plus compliqué. Pris par le pressing de la Nazionale et le bloc haut des coéquipiers de Barella, il n'a trouvé les ressources nécessaires pour permettre aux siens d'inverser la tendance.
- Castagne (3) : le coéquipier de Tielemans à Leicester a évolué dans un rôle de piston droit au cours de ce match mais n'a pas hésité à dézoner également pour apporter d'autres solutions. Vigilant défensivement notamment dans son positionnement pour intercepter les lignes de passe (15e), il est l'auteur d'un superbe retour sur Raspadori (20e). Au fil des minutes et à l'instar de ses partenaires, il a subi la pression italienne et s'est montré beaucoup plus fébrile sur le plan défensif. Juste avant la pause, il laisse Chiesa partir dans son dos ce qui aurait pu coûter cher aux siens sans la superbe parade de Courtois (45e). Fautif sur Chiesa, il concède par ailleurs le penalty du break (65e). Malgré sa volonté d'apporter offensivement, son laxisme défensif et ses sautes de concentration demeurent coupables dans cette défaite des Diables Rouges.
- Vanaken (2) : prestation très compliquée pour l'homme fort de Bruges. Positionné dans le cœur du jeu et à plusieurs reprises sur le côté gauche, il a été très peu trouvé par ses coéquipiers. Si son relai préférentiel a souvent été Carrasco dans le couloir gauche, il n'a jamais pesé sur le plan offensif. Bien cerné par l'arrière garde de la Nazionale, son seul fait d'arme reste finalement ce très bon retour défensif sur une contre attaque italienne qui se retrouvait en supériorité numérique aux abords de la surface belge (38e). En seconde période, il a même semblé parfois perdu sur la pelouse de l'Allianz Stadium où son positionnement semblait incertain à maintes reprises. Délicat.
- Batshuayi (5,5) : en l'absence de Lukaku, l'attaquant de Besiktas avait l'opportunité de briller sous le maillot belge et de porter les siens sur le front de l'attaque dans ce match pour la troisième place de la Ligue des Nations. Isolé et bien cerné par l'arrière garde italienne dès le début de la rencontre, il se signale malgré tout d'une première frappe qui fuit le cadre du portier italien, et ce après un beau travail dos au but (7e). Dans un rôle de premier pressing, l'ancien buteur de l'OM avait une tâche peu évidente. Mais malgré la difficulté pour le trouver (20e), le numéro 23 de la sélection belge a souvent bonifié ses prises de balle. Intéressant dans la transmission et dans son déplacement pour proposer des solutions offensivement, à l'image de cette remise précise pour Saelemaekers, tout proche d'ouvrir le score (25e), il rate de peu sa reprise sous la pression de la défense italienne (29e). Globalement discret, il ressurgit pour envoyer une magnifique frappe dans un angle fermé qui termine sa course sur la barre de Donnarumma (60e).
- Carrasco (5) : dès l'entame de cette rencontre, l'ailier de l'Atlético de Madrid a fait preuve d'une très belle activité dan son couloir gauche. Présent défensivement dans un rôle de piston, positionné légèrement derrière Vanaken, il s'est montré disponible pour ses coéquipiers. Malgré toutes ses intentions positives, il a fait preuve de trop d'imprécisions dans la dernière passe (17e, 23e). Mis en difficulté au fil des minutes sur le plan défensif, face à la très bonne entame de Berardi, il reste par ailleurs le plus en vue offensivement, à l'image de ce débordement (29e) amenant l'occasion de Batshuayi. Avec cette capacité de percussion et de vitesse, il aurait pu enflammer la fin de rencontre mais sa frappe en première intention terminait finalement sa course sur le poteau de Donnarumma (81e). Prestation en demi-teinte pour l'ancien Monégasque. Remplacé par Trossard (87e).
Les compositions officielles au coup d'envoi
Le XI de l'Italie
#NationsLeague
— Nazionale Italiana ⭐️⭐️⭐️⭐️ (@Azzurri) October 10, 2021
Gli 11 #Azzurri 💙 scelti dal Ct Mancini per
🇮🇹 #Italia 🆚 🇧🇪 #Belgio
⏱️ Oggi, ore 15.00
🏟️ Juventus Stadium - #Torino
📺 In diretta su #Rai1
🥉Finale 3°-4° posto
#ItaBel #VivoAzzurro pic.twitter.com/NZalaTBnEa
Le XI de la Belgique
1️⃣1️⃣ 💪 Last game of this #NationsLeague campaign. 🇧🇪 #SelectedbyPwC #DEVILTIME #ITABEL pic.twitter.com/J5kPMKBCMG
— Belgian Red Devils (@BelRedDevils) October 10, 2021
En savoir plus sur