Les nouvelles accusations hallucinantes de José Luis Rubiales contre Jennifer Hermoso
La fin de l’année 2023 a été très compliquée pour José Luis Rubiales : accusé d’avoir embrassé de forcé le 20 août 2023 l’internationale espagnole Jennifer Hermoso, tout juste championne du monde avec l’Espagne en Australie et Nouvelle-Zélande, le président de la Fédération Espagnole de Football (RFEF) n’a jamais reconnu ses torts dans cette histoire, assurant qu’il s’agissait d’un baiser consenti avec la nouvelle joueuse des Tigres. Quelques semaines plus tard, le dirigeant ibérique démissionne de son poste et subit la loi de la FIFA fin octobre, qui l’interdit de toute activité liée au football durant trois ans en raison de sa conduite inappropriée avant la remise du trophée mondial à la Roja. Dans un entretien accordé à El Español, l’ex-patron de la RFEF n’a pas hésité à remettre une couche , contestant ainsi la version de l’ancienne du FC Barcelone.
«Disons que j’ai eu, à un moment donné, des ennemis importants dans certaines institutions. Était-ce vraiment si grave ? Je ne le crois pas. À moins qu’un effort considérable n’ait été fait pour transformer une vague en tsunami et un tsunami en tremblement de terre mondial (…) Elle sait qu’elle ment, je le sais et mes filles qui étaient avec moi et qui ont entendu Jenni dire : "Laissez-moi tranquille, c’est un ami, il s’agissait d’une prise de bec entre deux amis". Mes filles l’ont entendu.» Pour rappel, l’Espagnole aux 105 capes (41 buts, meilleure buteuse de la sélection), présente parmi les finalistes pour le trophée The Best de la FIFA récompensant la meilleure joueuse de l’année, a confirmé face à la justice au début de l’année que ce baiser n’était «à aucun moment consensuel» et qu’elle avait même été victime de pressions après le dépôt de sa plainte.
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