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JT Foot Mercato : le vestiaire de l’OL au bord de l’implosion

Au programme de ce JT Foot Mercato : l’OL se divise dans le vestiaire, Rudi Garcia éteint le conflit avec Osimhen, Paris retient son souffle avec Nuno Mendes.

Par La rédaction du JT
3 min.
Le JT Foot Mercato du 28 septembre 2023 @Maxppp

Lyon sous tension

Avant-dernier du championnat, l’Olympique Lyonnais n’a pas encore connu le goût de la victoire cette saison. C’est dire le défi qui attend Fabio Grosso pour redresser un club en pleine crise sur le plan sportif, mais pas que. En interne, le vestiaire est tout simplement au bord de l’implosion selon RMC. La première mèche a été allumée avec les départs de Bradley Barcola au PSG et de Castello Lukeba au RB Leipzig. Ces transferts ont provoqué un sentiment de jalousie chez certains joueurs qui ont cherché à partir, à l’image du champion du monde argentin Nicolas Tagliafico comme on vous l’a révélé. La mission d’apaiser les tensions est souvent confiée aux cadres, mais dans le cas précis de l’OL, ces derniers semblent aussi en avoir marre à l’image du capitaine Alexandre Lacazette. Les résultats sportifs frustrent le « Général » qui se retient de dire que le niveau de ses coéquipiers est insuffisant. L’autre cadre du vestiaire des Gones est Corentin Tolisso. Mais son statut, le Français ne le doit qu’à son expérience, car depuis son retour à l’OL, ses performances sportives sont très loin du niveau requis. Sur le terrain comme en dehors, son cas commence à poser sérieusement question. Selon nos informations, certains ne comprennent pas pourquoi il enchaîne autant les titularisations. Puis il y a le cas Rayan Cherki qui divise le vestiaire. L’international Espoirs français est la première victime de l’arrivée de Fabio Grosso qui l’a installé sur le banc face à Brest. Sauf que ces derniers temps, Cherki avait pris du poids au sein du vestiaire du haut de ses 108 matchs professionnels. Mais son caractère, en plus de ses performances, ne plaît pas à tout le monde, comme le signale RMC. Les relations avec certains coéquipiers sont compliquées. D’autres n’apprécient pas son côté chambreur à l’entraînement à l’heure où il ne fournit pas toujours les efforts défensifs.

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Fin de la guerre à Naples

Dans le reste de l’actu à l’étranger, Naples s’est donné un peu d’air après sa victoire hier face à l’Udinese (4-1). Buteur après une série de quatre matchs sans marquer, Victor Osimhen n’a pas souhaité célébrer, l’affaire de la vidéo tik tok étant encore bien trop frais dans sa tête. Après la rencontre, son coach Rudi Garcia, avec lequel il s’était pourtant pris le bec il y a peu, a tenté de calmer le jeu. « J’ai une excellente relation avec Victor depuis mon arrivée et je suis heureux parce qu’il a marqué .(…) Il y a eu deux jours d’arrêt en raison d’épisodes maladroits. Personne ne voulait faire de mal, ni avec la vidéo ni avec Victor sur les réseaux sociaux. Ce sont aussi des réactions instinctives, vous pouvez le comprendre. Sur les réseaux sociaux, il fait ce qu’il veut, mais je peux vous assurer qu’il adore ce maillot», a confié le tacticien du Napoli au micro de Sky Sport. Reste à savoir comment cette épineuse affaire se terminera alors que le clan Osimhen menace d’engager des poursuites judiciaires contre Naples.

Nuno Mendes inquiète

Le PSG a annoncé hier une terrible nouvelle au sujet de son latéral gauche qui sera absent pour une durée de 4 mois. Un cas qui a créé un malaise au sein du club parisien. Au top de sa forme, Nuno Mendes fait certainement partie des meilleurs au monde à son poste. Sauf que depuis son arrivée dans la capitale française en 2021, le joueur de 21 ans a connu pas mal de soucis physiques. Victime d’une rupture du tendon de l’ischio, l’intéressé avait déjà ressenti une gêne similaire au même endroit l’an passé. Le quotidien L’Équipe révèle que l’ancien du Sporting s’est déjà plaint auprès de ses proches qu’il avait été forcé de jouer la saison dernière, malgré des douleurs persistantes. Un peu à l’image du cas Nordi Mukiele qui a dû précipiter son retour avec de se blesser gravement aux ligaments, la gestion du cas Nuno Mendes interroge.

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