Le capitaine de l’OM espérait mener ses troupes à la victoire dimanche soir. Au final, il a contribué à les couler avec un but contre-son-camp et une nouvelle performance décevante dans un gros match.
Depuis son arrivée à l’OM, deux clans se sont vite formés. Les pro-Balerdi, qui adoraient sa grinta et sa qualité de relance, et les anti, trop agacés par les bourdes à répétition du jeune défenseur argentin. Depuis, ses deux camps s’affrontent à chaque sortie, ou presque, de Balerdi, selon la performance enregistrée. Dimanche soir, les anti-Balerdi ont donc pu ajouter quelques arguments à leur diatribe.
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Car celui qui est devenu capitaine de l’OM s’est rendu coupable d’un but contre son camp quasiment inexplicable, surtout avec un gardien qui partage la même nationalité. Le manque de communication entre les deux a abouti à ce CSC improbable, sans aucun danger aux alentours ou même une présence menaçante. « Elle est très loin la saison dernière pour l’Argentin, promu capitaine cet été. Il inscrit un but contre son camp insensé (29) qui rappelle ses pires bourdes marseillaises alors qu’il n’y avait aucun adversaire à proximité. Sa deuxième mi-temps a été bien meilleure, mais le mal était déjà fait », flingue ainsi La Provence au sujet de Balerdi, crédité d’un 2.
Une nouvelle zone de turbulences
Sur les réseaux sociaux, Balerdi a pris cher suite à cette bourde, et beaucoup estiment aujourd’hui qu’il n’a pas les épaules pour être le capitaine de l’OM. « Il faut le dire, depuis le début de la saison, il est nul. Il ne supporte pas son rôle de son capitaine, toute cette attente », a ainsi taclé Daniel Riolo sur RMC, suscitant l’adhésion des supporters marseillais. Ce n’est pas la première bourde de Balerdi cette saison, puisque son expulsion précoce contre l’OL avait déjà entaché son exercice 2024-2025.
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La victoire de l’OM avait fait oublier son excès d’engagement, mais il avait abandonné ses partenaires dès la 5e minute en ne sachant pas contrôler ses nerfs. Expulsé contre l’OL, buteur contre son camp contre le PSG, soit deux grossières erreurs face aux plus grands rivaux marseillais. Pour beaucoup, c’est rédhibitoire pour un homme qui porte le brassard. Ce n’est pas la première fois que Balerdi traverse une zone de turbulences à l’OM, et il n’a jamais baissé les bras, à défaut de lever le pied…
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