Des nouvelles de… Kily Gonzalez

Nombreux ont été les Argentins à avoir marqué leur époque de leur empreinte. Kily Gonzalez en fait partie, lui qui a connu la gloire à Valence.

Par Khaled Karouri
2 min.
Retour sur le parcours de Kily Gonzalez @Maxppp

Il est Argentin, est né à Rosario, est gaucher, et a évolué en Liga... Non, nous ne parlons pas là de Lionel Messi mais bien de Kily Gonzalez. Elégant milieu offensif, le joueur fait ses premiers pas de footballeur au pays, sous le maillot de Rosario Central. Auteur de deux bonnes saisons, il s'engage ensuite en faveur de Boca Juniors, confirmant tous les espoirs placés en lui. Alors, l'appel de l'Europe se fait trop pressant pour l'international albiceleste (56 capes, 9 buts), qui tente l'aventure sur le Vieux contient du côté de Saragosse. 96 rencontres et 16 réalisations plus tard, Valence lui tend les bras.

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Cristian Alberto Gonzalez de son vrai nom connait alors la gloire, remportant au passage le championnat d'Espagne en 2002, et s'offrant aussi deux finales de Ligue des Champions (2000 2001), avec la génération dorée des Gaizka Mendieta, Claudio Lopez, Santiago Canizares, Jocelyn Angloma ou bien encore Adrian Ilie. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et l'Argentin quitte Mestalla pour tenter sa chance à l'Inter Milan. Moins en vue, le natif de Rosario voit son influence décliner au fil du temps, et se décide à retourner en Argentine. Après des passages à San Lorenzo et Rosario Central, il raccroche les crampons en 2011.

Désormais retraité, Kily Gonzalez garde malgré tout un excellent souvenir de sa carrière, et notamment à Valence. Pour As, le milieu offensif revient d'ailleurs sur ses meilleurs moments, avec une préférence pour les matches contre le Real Madrid : « Il y avait une poussée d’adrénaline la semaine précédant le match. Les gens le vivent d’une manière très forte ici et ils te le font remarquer dans la rue. Je me souviens notamment que nous avions beaucoup d’échauffourées avec le Real Madrid. J’aimais jouer contre eux, parce que c’était spécial. Ces matches étaient uniques et tout joueur rêvait de les jouer ».

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