OM : Vitinha fait passer ses messages…
En difficulté depuis son arrivée sur la Canebière, le Portugais prend son mal en patience. Et jure montrer un meilleur visage la saison prochaine.
Recrue la plus chère de l’histoire de l’Olympique de Marseille (32 M€, ndlr), Vitor Manuel Carvalho Oliveira, dit Vitinha a dû gérer ce nouveau statut en cours de saison. Arrivé l’hiver dernier en provenance de Braga, le jeune Portugais de 23 ans a découvert un club où la patience n’est pas de mise et surtout où son entraîneur, Igor Tudor, n’a pas hésité à le scotcher sur le banc de touche malgré sa nouvelle étiquette.
C’est simple, Vitinha n’a été titularisé qu’à quatre reprises en douze apparitions en Ligue 1 et n’a marqué que deux petits buts. Un bilan qui n’est bien évidemment pas en adéquation avec l’investissement consenti par le club phocéen. Mais à Marseille, pas question de condamner le Lusitanien. Ses six premiers mois sur la Canebière sont compliqués, mais la carte de l’adaptation a logiquement été brandie. De son côté, l’attaquant, qui a déjà évoqué ses débuts difficiles à l’OM, s’est confié à Record.
Vitinha promet du mieux
Dans cette petite interview, Vitinha a fait passer ses messages. « Ç’a été difficile. C’est un peu différent de ce à quoi j’étais habitué. Mais je travaille beaucoup et bien. J’espère que, dans un futur très proche, je serai à 200% pour donner le meilleur de moi-même au club et à l’institution. (…) Sincèrement, c’est différent. Aujourd’hui, je suis focalisé sur mon nouveau projet et j’espère rendre au club toute la confiance qu’ils m’ont donnée. »
Bien décidé à prouver sa valeur, Vitinha assure que le joueur de la saison 2023/2024 sera bien différent de celui de ces six derniers mois. « C’est difficile pour moi de changer de pays, d’aller dans un championnat différent de celui auquel j’étais habitué. J’ai besoin d’une période d’adaptation. Cette période que j’ai eue est suffisante et la saison prochaine, vous aurez un Vitinha meilleur, plus confiant. Tout sera nettement mieux la saison prochaine. » Place aux actes maintenant.