Transferts Ligue 1

OL : Bordeaux prêt à proposer un contrat à Gourcuff !

Alors que le président Aulas n'exclut pas de prolonger Yoann Gourcuff, ce dernier est toujours courtisé par Bordeaux.

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Olympique Lyonnais Yoann Gourcuff @Maxppp

«Les choses ne sont pas finies et je ne sais pas comment elles vont se terminer. Ce n’est peut-être pas la fin de la collaboration avec Yoann. (...) Je ne dis pas : "je souhaite qu’il reste". Je dis : "s’il reste, c’est qu’on aura réussi et qu’on sera champion de France". Je n’imagine pas non plus Lacazette, Fekir ou Umtiti s’en aller. Mais si Yoann doit partir, il partira. (…) Mais s’il reste, tout le monde sera gagnant.» Lorsqu'il s'agit d'évoquer l'épineux dossier Gourcuff, Jean-Michel Aulas ne se dit pas fermé à l'idée de prolonger un joueur qui a davantage fait ses gammes au sein de l'infirmerie de l'Olympique Lyonnais que sur le terrain.

La suite après cette publicité

Pourtant, il est compliqué aujourd'hui de voir le milieu de terrain âgé de 28 ans rester entre Rhône et Saône au-delà d'un contrat qui se termine en juin prochain. Un scénario dont rêvent plusieurs clubs de Ligue 1 prêts à bondir sur un joueur certes victime de blessures récurrentes, mais dont le talent reste indéniable. Et si Rennes imagine déjà le retour au pays du Breton, Bordeaux n'a pas abandonné l'idée de rapatrier lui aussi Gourcuff dans un club qu'il a fréquenté de 2008 à 2010.

Selon France Football, les Girondins seraient d'ailleurs prêts à faire quelques sacrifices financiers pour accueillir l'international tricolore. Ainsi, les Marine-et-Blanc seraient disposés à lui offrir un salaire annuel brut de 1,5 M€. Un chèque qui est loin des 5,4 M€ que perçoit le joueur chaque année, mais Gourcuff sait qu'il ne pourra pas réclamer pareil traitement s'il change de club ou s'il prolonge à Lyon. Courtisan déclaré, Rennes surenchérira-t-il ? Une chose est sûre : si Gourcuff devait retourner à Bordeaux, cela ne plairait pas vraiment à un JMA qui refuse d'imaginer un tel scénario. «Je ne crois pas une seule seconde qu’il puisse retourner à Bordeaux.»

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité
La suite après cette publicité
Copié dans le presse-papier