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Jim Ratcliffe va devoir batailler pour s’offrir Manchester United !

Patron d’Ineos et propriétaire de l’OGC Nice, Jim Ratcliffe ne lâche pas et semble plus que jamais déterminé à mettre la main sur Manchester United. Selon nos dernières informations, le milliardaire britannique se confronte malgré tout à plusieurs obstacles…

Par Santi Aouna - Josué Cassé
2 min.
Sir Jim Ratcliffe @Maxppp

Le 22 novembre dernier, Manchester United annonçait son intention de vendre le club, détenu depuis 2005 par la famille Glazer. «Le processus est conçu pour améliorer la croissance future du club, dans le but ultime de positionner le club pour capitaliser sur les opportunités à la fois sur le terrain et commercialement. Dans le cadre de ce processus, le conseil d’administration examinera toutes les alternatives stratégiques, y compris un nouvel investissement dans le club, une vente ou d’autres transactions impliquant la Société».

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Depuis cette annonce et la confirmation par les Red Devils de leur recherche d’un nouvel actionnaire, les candidats se positionnent. Parmi eux : Jim Ratcliffe, aux commandes de la société Ineos et propriétaire de l’OGC Nice. Déterminé à l’idée de s’offrir un club mythique au royaume de Sa Majesté, l’ingénieur chimiste de formation doit malgré tout faire face à la concurrence. Ces dernières heures, The Guardian révélait ainsi que l’émir du Qatar, le cheikh Tamim bin Hamad al-Thani, avait également l’ambition de racheter Manchester United tout en gardant le PSG.

Jim Ratcliffe encore loin du prix fixé par la famille Glazer !

Chahuté dans ses ambitions, Jim Ratcliffe n’a, cependant, pas l’intention de lâcher l’affaire. Dans cette optique, The Daily Telegraph affirmait, de son côté, que le boss des Aiglons avait décidé de s’entourer des puissants et d’ajouter deux géants de Wall Street à sa liste d’associés. Plus précisément, Goldman Sachs et JP Morgan Chase, deux grandes banques américaines. Une manœuvre qui pourrait ainsi permettre au patron d’Ineos de rafler la mise.

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Méfiance toutefois puisque selon nos dernières informations, d’autres barrières existent à l’heure actuelle. En effet, si les négociations se poursuivent actuellement entre le dirigeant britannique et la banque mandatée pour la vente, l’accord est encore loin d’être trouvé. La raison ? Jim Ratcliffe ne souhaite pas offrir plus de 4 milliards de dollars. De son côté, la banque demanderait, elle, 6 milliards de dollars. Un sacré frein qui pourrait faire capoter le deal et profiter aux Qataris ? Réponse dans les prochaines heures…

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