Menacée par la mafia, Dalma Maradona brise le silence sur la mort de son père !

La terreur règne dans la famille Maradona depuis la mort de la légende du football argentin, Diego, il y a 5 ans. À quelques jours du procès de l’équipe médicale qui s’occupait de l’ancien footballeur, la fille ainée Dalma Maradona évoque des menaces de la mafia et réclame la vérité sur la mort de son père. Invitée du podcast Angel Responds, sur la chaîne Bondi Live, Dalma a révélé que sa famille vit dans la peur depuis la mort de son père en 2020, en raison de menaces de la mafia. Elle confie les larmes aux yeux : « Ma mère est inquiète, elle a peur… peur de la mafia, de ceux qui contrôlent tout, qui ont de l’argent et du pouvoir. » Dalma assure que sa mère lui demande de ne rien dire, par crainte de représailles, mais ne veut pas se laisser intimider pour connaître la vérité sur les circonstances du décès de la légende argentine. « Nous avons besoin que les gens sachent la vérité sur la mort de mon père. Ma mère me demande de me taire, de ne rien dire, elle a peur. Mais moi, je ne peux pas rester silencieuse, je m’en fiche, je lui dois bien ça. Je sais contre quoi je me bats, mais je ne peux pas me taire, avant d’alerter l’opinion publique sur les dangers que risquent sa famille. Tu peux être entouré de beaucoup de monde, mais il y a des gens qui avancent de l’argent et, du jour au lendemain, tu disparais de la carte. »
Diego Armando Maradona est décédé d’une crise cardiaque fatale à son domicile de Buenos Aires, le 25 novembre 2020, à l’âge de 60 ans. Le rapport d’autopsie révèle également que le champion du monde 1986 est mort d’un « œdème pulmonaire aigu secondaire à une insuffisance cardiaque chronique ». Mais en mai 2021, un rapport d’expertise ordonnée par la justice argentine, avait conclu que « El Pibe de Oro » avait été « abandonné à son sort » par son équipe soignante, dont le traitement « inadéquat, déficient et imprudent » l’a conduit à une lente agonie. Huit personnes sont poursuivies dans cette affaire. Le procès de sept d’entre elles débutera le 11 mars. Les accusés encourent des peines pouvant aller de 8 à 25 ans de prison s’ils sont reconnus coupables.
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