Carlo Ancelotti est chaud pour quitter le Real Madrid !
Sous contrat avec la Casa Blanca jusqu’en 2024, le technicien italien se sait menacé en cas de nouvel échec domestique ou continental. Mais son avenir n’est pas sombre pour autant.
Vainqueur des Égyptiens d’Al Ahly (4-1) en demi-finale du Mondial des clubs, le Real Madrid tentera de décrocher un cinquième sacre planétaire ce week-end face aux Saoudiens d’Al Hilal. Et si elle y arrive, la Casa Blanca donnera un peu de répit à Carlo Ancelotti. Remis en question par la presse madrilène l’Italien marche sur des charbons ardents.
La faute à une deuxième place au classement de Liga, à huit points du FC Barcelone, ainsi qu’à la finale de la Supercoupe d’Espagne perdue face aux Blaugranas le mois dernier. Les médias locaux assuraient également que l’Italien avait perdu la confiance de sa direction et qu’un nouvel échec retentissant pourrait sceller son sort. Une tendance confirmée quelques jours plus tard par l’annonce d’un éventuel retour de Zinedine Zidane ou de la promotion de Raul, l’entraîneur du Castilla.
Une rencontre Pérez-CBF à venir
Lié à la Casa Blanca jusqu’en 2024, Ancelotti n’est pas surpris pour autant par cette remise en question quelques mois seulement après avoir réussi le doublé Liga-Ligue des Champions. Le Transalpin connait l’exigence du Real Madrid et il a vécu une situation similaire en 2015, lorsqu’il avait été remercié un an seulement après avoir remporté la dixième coupe aux grandes oreilles de l’histoire du club. Surtout, Ancelotti sait qu’il a un plan B pour rebondir.
Annoncé comme la priorité de la fédération brésilienne (CBF), Carletto aurait fait savoir à la CBF via des intermédiaires qu’il était finalement intéressé par le poste de sélectionneur auriverde. L’information est signée Globoesporte qui affirme que la nomination du successeur de Tite ne devrait plus tarder. Le média brésilien ajoute même que le président de la CBF, Ednaldo Rodrigues, a prévu de rencontrer Florentino Pérez ce mois-ci pour lui soumettre une offre officielle pour Ancelotti. À suivre.
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