Libre de tout contrat en juin prochain, Munir El Haddadi aurait choisi de quitter la Catalogne sans prolonger. Mieux, l'attaquant culé aurait déjà trouvé un accord avec Séville. Une situation qui a poussé le Barça à faire "une Rabiot" à son joueur.
2 min.
S'il est sans doute ravi de profiter de la situation contractuelle d'Adrien Rabiot pour chiper le milieu de terrain au Paris Saint-Germain l'été prochain sans avoir à débourser le moindre euro (ou contre un tout petit chèque cet hiver), le FC Barcelone doit lui aussi faire face à un problème similaire. À 23 ans, et après un prêt gagnant à Alavés (10 buts en 33 matches de championnat), Munir El Haddadi a fait son retour à Barcelone cette saison. Mais l'Hispano-Marocain joue très peu.
La suite après cette publicité
Avec seulement sept apparitions en Liga, dont une petite titularisation, le jeune attaquant ne dispose pas d'un temps de jeu assez conséquent. Une situation qui, au vu de sa situation contractuelle (libre en juin prochain), a forcément attiré plusieurs courtisans, dont l'AC Milan ou encore l'Olympique de Marseille. Au final, ce serait le FC Séville qui aurait raflé la mise pour l'été prochain. Une information qui n'est pas restée sans conséquence, comme nous l'apprend la presse catalane ce matin.
El Haddadi devenu persona non grata
Sport nous indique en effet que l'entraîneur du Barça, Ernesto Valverde, aurait communiqué à Munir son choix de ne plus le convoquer pour les matches en raison de son futur départ. Cela ne vous rappelle rien ? Le coach culé a pris la décision d'infliger à son élément la même «sanction» prise par le Paris Saint-Germain à l'encontre d'Adrien Rabiot, qui a lui aussi refusé de prolonger son bail. Et ce n'est pas tout.
La suite après cette publicité
Le quotidien pro Barça avance même que les Blaugranas souhaiteraient tellement s'en séparer qu'ils envisageraient de le prêter cet hiver pour six mois (jusqu'à la fin de son contrat). Quel intérêt me direz-vous ? Le journal indique que cela permettrait au Barça de ne pas avoir à lui payer ses six derniers mois de salaire. Ambiance... Et contrairement en France avec le cas Rabiot, cette situation ne semble émouvoir personne en Catalogne...
En savoir plus sur
La suite après cette publicité
