Arrivé en janvier à West Ham après un an et demi d'inactivité, Samir Nasri n'a pas beaucoup joué. Le meneur de jeu tricolore est conscient qu'il doit encore convaincre les Hammers et Manuel Pellegrini.
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Une première étape. Samir Nasri (31 ans) a retrouvé le chemin des terrains. Après plus d'un an et demi d'absence, en raison d'une suspension pour usage de produits dopants, le meneur de jeu a convaincu West Ham et Manuel Pellegrini de miser sur lui en janvier. Son ancien coach à Manchester City se laissait tenter par ses qualités techniques après quelques semaines d'essai. Et il n'était pas déçu puisque les premiers pas de l'ancien Marseillais étaient plutôt réussis.
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Pour sa première titularisation en Premier League, contre Arsenal (1-0, 22e journée), le milieu offensif mettait rapidement tout le monde d'accord. Depuis, il a enchaîné deux titularisations et deux entrées en jeu, pour deux passes décisives et 88,4% de passes réussies, avant de se blesser. Sous contrat jusqu'en juin 2019, l'ancien international tricolore (41 sélections, 5 réalisations) joue donc encore son avenir sur la fin de la saison.
«Il me reste sept matches»
Et, comme il l'a confié au London Evening Standard, l'ex-Gunner d'Arsenal en a bien conscience. «Je ne suis au courant de rien au sujet de mon avenir. La chose la plus importante pour moi était de revenir, ce que j'ai fait en janvier. Ensuite, j'ai contracté une blessure, parce que je n'ai pas joué régulièrement depuis très longtemps», a-t-il lâché, en toute franchise, avant de poursuivre.
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«Maintenant, le manager prend son temps avec moi. Il me reste sept matches et je veux juste jouer, sans me blesser et, ensuite, on s'assoira autour d'une table pour discuter et voir ce qui se passera», a-t-il conclu. Au programme de ce sprint final, Everton, Chelsea, Manchester United ou encore Tottenham se dresseront sur la route des Londoniens et du Français. Samir Nasri aura du pain sur la planche pour glaner son nouveau contrat.
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