Alors que les Gunners espèrent toujours prolonger le contrat de leur star allemande, la presse anglaise annonce que la formation londonienne sera prête à vendre le champion du monde 2014 si ce dernier ne calme pas ses ardeurs financières.
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À l'instar du dossier Alexis Sanchez, le cas Mesut Özil commence sérieusement à poser problème à Arsenal. Recruté en 2013 contre 50 M€, l'ancien pensionnaire du Real Madrid a rapidement su se rendre indispensable aux Gunners en étant l'un des meilleurs passeurs de la Premier League ces dernières saisons. Un statut qui a logiquement poussé les dirigeants londoniens à pencher sur une prolongation de contrat, le bail d'Özil se terminant en 2018. Mais cette prolongation tarde. Beaucoup trop.
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En effet, alors que les Gunners sont prêts à offrir un salaire plus conséquent à leur champion du monde allemand, ce dernier, ainsi qu'Alexis Sanchez, ont affiché des prétentions salariales qui dépassent l’entendement pour leur direction. En clair, alors qu'ils demandaient déjà à toucher plus d'argent qu'Arsène Wenger -une pratique toujours refusée par Arsenal jusqu'ici- Özil et Sanchez veulent désormais toucher autant qu'un Paul Pogba (18 M€/an).
Arsenal prêt à écouter des offres pour Özil
Des requêtes qui ont rapidement donné lieu à des rumeurs de départ. Concernant Özil, c'est un retour au Real Madrid qui a été évoqué. Info ou intox ? Si un come-back au Santiago Bernabeu est encore loin d'être d'actualité, le Telegraph annonce qu'un départ d'Özil lors du prochain mercato estival n'a rien d'un scénario utopique ! La raison ? Arsenal n'entend pas accéder à la dernière demande salariale de sa star. Conséquence : si l'Allemand ne revoit pas ses prétentions à la baisse, les Gunners seront prêts à écouter toute offre pour leur milieu de terrain.
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Une information qui ne devrait pas échapper à certains gros calibres de la scène européenne. En effet, s'il ne prolonge pas son bail, Özil n'aura plus qu'un an de contrat l'été prochain. Une situation qui forcera les Gunners à s'en séparer s'ils veulent récupérer un chèque qui ne pourrait toutefois pas être conséquent. Une situation qui ne manquerait pas de provoquer davantage de moqueries envers un club si souvent critiqué lorsqu'il s'agit d'évoquer le mercato.
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