Arsenal : Wenger répond à la polémique Alexis Sanchez
À la veille du 8e de finale retour de Ligue des Champions contre le Bayern Munich, le manager d'Arsenal Arsène Wenger a dû revenir sur l'affaire Alexis Sanchez, dont la présence sur le banc de touche à Liverpool samedi en a surpris plus d'un.
«Arsenal, rupture totale avec Sanchez !». Ce lundi matin, nous vous relayions l'affaire Alexis Sanchez qui secoue Arsenal. Le Chilien, qui se serait pris le bec avec plusieurs partenaires la semaine passée, était sur le banc au coup d'envoi du choc contre Liverpool (3-1, 27e journée de Premier League). Une décision qui aurait convaincu l'attaquant de quitter les Gunners cet été. Évidemment, Arsène Wenger, présent en conférence de presse à la veille de la réception du Bayern Munich (8e de finale retour de Ligue des Champions), n'a pu échapper aux questions sur le sujet.
Et comme souvent, le manager alsacien, relayé par Daily Mirror, a botté en touche. « Une prise de bec la semaine passée ? Oui, c'est complètement faux. Je comprends que vous devez remplir vos journaux, je le respecte. Nous devons accepter tout cela», a-t-il lancé avant de poursuivre.«Son énervement ? Je ne suis pas au courant. Il ne s'est rien passé», s'est-il contenté de répondre, reconnaissant simplement que, «parfois, ses attitudes sont excessives».
Il prévient Sanchez pour le mercato d'été
Mieux, comme si de rien n'était, le technicien tricolore a une nouvelle fois rappelé que les Londoniens auraient le dernier mot concernant l'avenir de l'ancien du FC Barcelone, déjà annoncé dans le viseur du Paris SG, de la Juventus Turin, de Chelsea, de Manchester City, de l'Inter Milan ou encore du FC Séville ou de l'Atlético Madrid. «Il lui reste 15 mois de contrat. La décision au sujet de son avenir dépendra complètement du club d'Arsenal et de personne d'autre», a-t-il lâché, laissant planer le doute sur sa titularisation contre les Bavarois.
«Je n'ai pas encore décidé». Une petite phrase, étonnante lorsque l'on sait que les pensionnaires de l'Emirates sont dans l'obligation de remonter un score très défavorable (1-5, à l'aller), qui ne risque pas forcément d'arranger les choses entre les deux hommes. Détaché et philosophe, Arsène Wenger, qui n'a pas évoqué son avenir personnel non plus, préfère, comme si de rien n'était, ne pas accorder trop d'importance au début d'affaire Alexis Sanchez.
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