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Sidney Govou s’offre à l’OL !

S'entraînant avec l'Olympique Lyonnais, Sidney Govou compte bien revenir au plus haut niveau. Et son ambition ultime est toute trouvée : endosser de nouveau le maillot du club septuple champion de France.

Par Khaled Karouri
2 min.
Olympique Lyonnais Sidney Govou @Maxppp

C'est dans les vieux pots que l'on fait les meilleures confitures. Voilà une maxime que l'Olympique Lyonnais pourrait reprendre à son compte. Les Gones ont en effet déjà profité de la situation de Steed Malbranque, libre de tout contrat à l'été 2012, pour le faire rentrer au bercail. Et bien, ce coup-ci, c'est Sidney Govou qui pourrait suivre cette voie. Libre comme l'air car non conservé par Évian-Thonon-Gaillard, l'ailier droit s'entraîne au centre de Tola-Vologe, pour conserver la forme. Interrogé par Le Progrès, l'ancien numéro 14 rhodanien dresse son bilan de santé :

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« Je suis content, je m’entraîne, et plutôt bien. Physiquement je n’ai plus de souci, mais pour trouver du rythme, il faut jouer des matches. Pour l’instant, j’en suis à 45 minutes en amical contre St-Priest, et une opposition avec les pros. Ce week-end ? Il faut voir, le match est dimanche à Sochaux… Je ne suis pas à une semaine près non plus (rires). Je ne voulais pas m’arrêter sur une blessure. J’ai voulu me donner une chance de continuer, et j’ai le mental. Quand j’ai contracté ce staphylocoque, on me disait que j’allais boiter toute ma vie, que je ne pourrais plus courir, heureusement ça a bien évolué ».

Une bonne évolution, qui lui permet de retrouver l'ambition, et de ne plus faire mystère de ses intentions : « Je veux jouer le plus haut possible, mais pas au Qatar ou en Chine, j’ai une famille, ça se passe super bien et sauf pour l’Angleterre par exemple, je ne partirai pas. L’OL, mon premier choix ? Oui, je ne vais pas mentir. J’en parlais avec beaucoup de conditions il y a deux mois. Aujourd’hui, c’est différent, mais il y a l’offre et la demande. Est-ce qu’ils ont besoin de moi ? On devrait en parler dans les jours qui viennent. Bien sûr, s’il ne se passe rien d’ici janvier, je n’aurais plus qu’à jouer dans le jardin avec mon fils ! » Philosophe ce Govou.

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