Leonardo, les Argentins du PSG, la L1, son n° 27 : les dernières confidences de Javier Pastore

Depuis jeudi dernier, et le match face au FC Differdange, les observateurs ainsi que les supporters du Paris Saint-Germain peuvent le voir à l'œuvre. Lui, c'est bien sûr Javier Pastore, le joueur le plus cher de l'histoire de la Ligue 1 (42 M€). Recruté pour sublimer le jeu des Rouge-et-Bleu, El Flaco n'est pas encore en pleine possession de ses moyens, mais le meilleur semble à venir. À l'aise face aux Luxembourgeois, le meneur argentin doit désormais retrouver une bonne condition physique pour briller sur les pelouses de Ligue 1.

Mais tout cela ne l'effraie pas vraiment. Interrogé par ESPN Radio, l'ancien Palermitain a évoqué ses débuts avec sa nouvelle équipe avant d'expliquer à nouveau les raisons qui l'ont poussé à préférer le PSG à un club comme Chelsea. « Jusqu'à présent, les choses se passent bien. Nous avons gagné les deux derniers matches et l'équipe a prouvé qu'elle se bat partout où elle est engagée. C'est un projet très intéressant qui m'a fait venir, mais aussi Leonardo qui a beaucoup discuté avec moi pour m'expliquer ce qu'il attendait de moi. Il m'a contacté après le match de coupe d'Italie Inter-Palerme. C'est depuis ce jour qu'il me voulait. »

Attendu comme le messie par tout le Parc des Princes, Pastore a également été mis au parfum quant à la tradition de joueurs sud-américains au PSG. « On me parle beaucoup des Argentins qui sont passés par là. Pour Heinze, on m'a dit que c'était une grande personne et un excellent défenseur. On m'a aussi parlé de Pochettino, Sorin, Gallardo et de Ronaldinho, des joueurs qui ont donné du rêve aux supporters, mais aussi à leurs partenaires. »

Bien décidé à faire partie de ces stars ayant marqué l'histoire du club de la capitale, le natif de Cordoba semble en tout cas apprécier la Ligue 1. « Le football français est un beau football. Ça joue bien et il y a de grands joueurs dans le championnat. Je ne remarque pas beaucoup de différences par rapport au football italien. J'ai des coéquipiers qui parlent espagnol, d'autres l'italien. Je suis très ami avec le gardien (Salvatore Sirigu, Ndlr) parce que nous avons joué ensemble à Palerme. Mais je le mets au français pour qu'on apprenne. » En attendant de voir s'il répondra aux énormes attentes qu'il suscite, Pastore a dévoilé les secrets de son nº 27. « Le 27, c'est le numéro préféré de ma maman, c'est pour ça que je le porte. Il n'y a rien de spécial, c'est juste qu'elle l'aime. »