Dans son édition du jour, Mundo Deportivo explique que Miralem Pjanic serait une piste du Paris Saint-Germain et qu'il serait la clé dans le dossier Adrien Rabiot.
« Est-ce que je veux garder Rabiot ? Bien sûr. Vous pouvez voir le potentiel que le garçon a. Et il n'a pas encore atteint ses limites. Son avenir est entre ses mains. La décision lui appartient. Il doit choisir s'il s'engage avec nous, avec notre manière de fonctionner. S'il choisit de rester avec son club de toujours ou de tenter un nouveau challenge. Moi, j'aime ce joueur, j'aime travailler avec lui. Vous pouvez voir tout son potentiel », expliquait hier Thomas Tuchel, le nouvel entraîneur du Paris Saint-Germain, dans un large point mercato.
Car le milieu de terrain français est bien le centre névralgique du mercato estival du Paris SG. En fin de contrat dans un an, Adrien Rabiot est courtisé en Europe, notamment par le FC Barcelone. Le club de la capitale, qui lui a proposé un nouveau contrat, est donc à un tournant de son histoire avec son joueur. A priori, soit il partira cet été contre une belle indemnité, soit il prolonge, soit il s'en ira libre dans un an, ce qui couronnera sa relation tumultueuse avec son club.
Si Pjanic arrive, Rabiot part ?
Dans son édition du jour, Mundo Deportivo évoque à nouveau le dossier Adrien Rabiot. Le média espagnol, à tendance pro-catalane, explique que le milieu de terrain de la Juventus Turin, Miralem Pjanic, pourrait être la clé du dossier. Un temps annoncé du côté des Blaugranas, l'ancien de l'Olympique Lyonnais et du FC Metz serait aujourd'hui sur les tablettes des dirigeants de la formation francilienne pour venir renforcer son milieu de terrain.
La Vieille Dame estimerait son transfert à près de 80 millions d'euros. Avec ce renfort, il se pourrait que le Paris Saint-Germain laisse filer Adrien Rabiot, qui est, rappelons-le, la priorité du FC Barcelone pour garnir son entrejeu. Toutefois, rien ne dit que le PSG va passer vraiment à l'action pour l'ex-meneur de jeu de l'AS Roma. Un dossier sensible donc et, a priori, nous ne sommes pas au bout de nos peines et les dirigeants parisiens non plus.
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