Chelsea et le Real Madrid snobés par un futur crack argentin

Chelsea, le Real Madrid et Manchester City ont beau avoir des millions d'euros plein les poches, cela n'a visiblement pas été suffisant pour convaincre un des grands espoirs du football argentin.

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Diego Perotti @Maxppp

Révélé aux yeux de l'Europe en début de saison, Diego Perotti fait partie de ces jeunes joueurs promis à un grand avenir. Déniché par le FC Séville en 2007 alors qu'il évoluait du côté du Deportivo Moron, l'international albiceleste a mis très peu de temps à s'attirer les faveurs des plus grosses écuries du Vieux continent.

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Milieu offensif gauche vif et technique, l'Argentin a en effet été souvent cité du côté de Manchester City et du Real Madrid. Des Merengues toujours intéressés lors du dernier mercato hivernal à en croire la presse andalouse qui avait également fait état d'une offre de 25 M€ en provenance du City Of Manchester Stadium. Mise au courant de tous ces intérêts, la direction sévillane avait immédiatement réagi en blindant son joueur en prolongeant son contrat.

Désormais lié au club de Nervion jusqu'en 2015, Perotti dispose d'une clause libératoire de 48 M€. Un montant auquel Madrilènes et Mancuniens ont d'ailleurs été depuis renvoyés par Séville si leur intérêt est toujours d'actualité. Mais comme chacun sait, tout peut aller très vite dans le monde du ballon rond. Et si un joueur, courtisé par de telles équipes, décide de partir, il est généralement compliqué de le retenir même si le président Del Nido sait y faire.

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Cependant, malgré l'apparition de Chelsea parmi les prétendants, l'agent du joueur, Alvaro Torres, nous a indiqué que son protégé avait d'autres projets en tête. « Diego vient juste de prolonger son contrat. C'est vrai qu'il réalise une bonne saison à Séville et qu'il a fait sensation, mais l'objectif c'est de continuer au moins encore un an dans son club actuel. Il ne veut pas partir cet été. » À 21 ans, le joueur qui compte 19 titularisations en 22 rencontres de Liga disputées a donc fait le choix de la raison.

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