Metz : la comparaison honteuse du président Serin
Sanctionné par la commission de discipline d'un retrait de trois points, dont un avec sursis, après les incidents survenus lors du match Metz-OL, le club grenat ne digère pas cette décision. Pour preuve, le président messin Bernard Serin n'a pas hésité à faire une comparaison des plus douteuses pour justifier sa position.
«Quelle faute a-t-on commise ? Celle d'avoir laissé quelqu'un entrer avec un pétard gros comme une petite pile ? 488 engins pyrotechniques ont été jetés dans les stades de L1 cette saison. (...) C'est comme si, il y a quinze mois, la justice avait condamné le Bataclan », a-t-il déclaré cet après-midi dans des propos relayés par L'Équipe. Pas sûr que comparer les incidents de cette rencontre au drame du Bataclan ait été la meilleure idée...