Le président de la DNCG répond aux attaques

Par Richard Rizza
1 min.

Cet été, les cas litigieux opposant les clubs français aux institutions judiciaires se sont multipliés. Si Lens est finalement parvenu à se maintenir en Ligue 1, Luzenac continue de se battre et compte bien aller au bout de son action pour suspendre le championnat de Ligue 2. Une situation qui fait dire à Richard Olivier, le président de la DNCG, qu’il est nécessaire de passer par une simplification. Même si, pour lui, il ne faut pas totalement tout remettre à plat.

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« J’ai dû être auditionné par cinq missions parlementaires et toutes ont estimé que la DNCG faisait bien son travail. Du fait de cette mauvaise publicité, on a le sentiment d’être dans un système très mauvais alors que c’est le meilleur du monde. Après, on peut simplifier le processus. Je serais favorable à la création d’un tribunal arbitral ou d’une chambre spécialisée dans le sport » a-t-il lancé, avant de sembler réticent à propos d’un gros changement : « Il faut faire quelque chose, oui, mais j’ai un peu peur. Quand on touche à une pierre d’un édifice, le risque est que tout s’écroule. »

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