Accord LFP/ASM : au tour de Montpellier de pester
Le 24 janvier dernier, l'AS Monaco réglait son litige avec la LFP concernant l'implantation en France de son siège social de façon radicale : un chèque de 50 M€ pour oublier un conflit qui secouait le football français depuis le retour de l'ASM en Ligue 1. Une solution qui a bien évidemment fait grincer des dents du côté des autres clubs de l'élite.
Après l'OL, l'OM, le LOSC ou encore Bordeaux, c'est au tour de Montpellier de pousser un coup de gueule contre la Ligue par la voix de Laurent Nicollin. «Au-delà de l’accord en lui-même, c’est la façon dont cela s’est passé qui nous a dérangés. La méthode de la Ligue, qui a voulu passer en force sans nous consulter, ne nous a pas plu, a lâché le président délégué héraultais à Midi Libre. Nous estimons que l’équité n’est pas respectée avec cet accord. On ne voit pas pourquoi Monaco continuerait à ne pas payer les mêmes taxes que les autres clubs. Ce n’est pas logique.»
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