Insolites : les perles de la semaine

Vous les attendiez, elles sont là. Je veux bien évidemment parler des insolites. Une bonne dose de situations cocasses avec au programme ce week-end avec : un journaliste qui confond Olivier Giroud et Younes Belhanda, un Mario Balotelli plus en forme que jamais dans un clip de rap et une bourde monumentale du trésorier du TFC… Les insolites, c’est parti !

Par Sébastien DENIS
2 min.
Toulouse @Maxppp

Ce n’est pas moi, c’est lui !

Avi Assouly, célèbre journaliste marseillais, réputé notamment pour sa bourde en 2006 lorsqu'il avait annoncé la qualification de l'OM en coupe UEFA alors que le club phocéen était éliminé, a encore frappé. En zone mixte après la rencontre entre l’OM et Montpellier, le journaliste pose une question à Olivier Giroud.« Alors Olivier, parle-nous de ton superbe but, contrôle poitrine ciseau ? » Réponse étonnée du principal intéressé : « euh ce n’est pas moi qui ait marqué, c'est Belhanda ». Un grand moment de solitude vécu par le journaliste marseillais qui n’est pas prêt d’oublier cette étonnante erreur.

Mario Balotelli, future star du rap ?

Mario Balotelli a un but dans la vie, faire parler de lui chaque jour. Et malgré les signes de lassitude évident de Roberto Mancini, le célèbre trublion italien n’en manque pas une. Après avoir fait son retour dans les insolites la semaine dernière, revoilà super Mario dans un clip de rap. Pas étonnant donc de le voir faire quelques jongles (ainsi qu'une apparition avec une bouteille de champagne) en compagnie du rappeur mancunien RIO, sur le morceau "Can't Stop We", comprenez "On ne peut pas nous arrêter". Sacré Mario ! Il est clair que celui qui arrêtera Balotelli n’est pas né. Voilà qui promet de nouvelles remontrances de la part de son entraineur italien.

Erreur du trésorier en votre faveur : recevez 802 000 euros !

Pas vraiment transcendant depuis son arrivée à Toulouse, l’attaquant turc Umut Bulut ne fait pas les gros titres dans les médias. Pourtant, cette semaine, son nom est revenu sur le devant de la scène, mais pas forcément pour les raisons que l’on pense. Le trésorier a été l’auteur d’une véritable faute professionnelle en délivrant un chèque à Ankaragücü (son club entre 2001-2002 puis entre 2003-2006) en lieu et place de Trabzonspor, son dernier club avant le TFC. Plutôt honnête et beau joueur, le club turc a contacté le TFC pour lui parler de cette erreur pour le moins inhabituelle. L’histoire ne dit pas si le trésorier toulousain s’est pris un savon de la part d’Olivier Sadran. La prochaine fois, nul doute qu’il regardera avec plus d’attention, la carrière exacte des futures recrues du club.

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